Les porteuses de mauvaises nouvelles
2005 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Vandekeybus, Wim (Belgium)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 2000 > 2009
Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon
Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon
Les porteuses de mauvaises nouvelles
2005 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Vandekeybus, Wim (Belgium)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 2000 > 2009
Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon
Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon
Les porteuses de mauvaise nouvelle
En 1989, après une résidence au Centre National de Danse Contemporaine d'Angers (France), Wim Vandekeybus crée Les porteuses de mauvaises nouvelles.
Les porteuses de mauvaises nouvelles explore et développe la confrontation entre l'interprète et les éléments imminents et incontournables de la réalité : poids, durée, chute, souffle.
15 ans plus tard, Ultima Vez a fait une reprise de cette création en collaboration avec Companhia Instável à Porto, Portugal. Le point de départ était le désir de confronter les jeunes danseurs au langage du mouvement très spécifique de Vandekeybus et d'enrichir la scène de la performance portugaise. Huit danseurs de sept nationalités différentes sont impliqués dans le projet, l'objectif principal étant de créer un projet stimulant l'échange et la contamination artistique.
Source : Ultima Vez
En savoir plus : www.ultimavez.com
Vandekeybus, Wim
Wim Vandekeybusest né à Herenthout le 30 juin 1963. Son père était vétérinaire. Après l’enseignement secondaire, Wim Vandekeybus est parti à Louvain, pour y étudier la psychologie. En 1985, il s’engage dans une voie toute nouvelle et passe une audition pour Jan Fabre qui lui donne un rôle dans "The Power of Theatrical Madness". Un an plus tard, il fonde Ultima Vez.
Son premier spectacle "What the Body Does Not Remember" est devenu un succès international. Presque une trentaine d’années et toute une série d’oeuvres filmées et de vidéos plus tard, Wim Vandekeybus poursuit sa quête de la nouveauté et de l’innovation: “Pour moi, la forme doit être chaque fois différente, dit-il. C’est pour ça qu’une fois, je crée un spectacle très musical ("nieuwZwart" ou "Speak low if you speak love" ….), que la fois d’après je place un seul homme face à un film (Monkey Sandwich), que je mets en scène une pièce mythologique classique ("Oedipus/bête noir") ou que je monte un spectacle-analyse où la théâtralité joue un rôle majeur ("Booty Looting" ou "Talk to the Demon").”
Pourtant dans toutes ces productions si différentes, Ultima Vez reste fidèle à son propre langage du mouvement. Tension, conflit, body face à mind, risques et impulsions. Corporéité, passion, intuition, instinct. Ces piliers ne disparaîtront jamais de l’œuvre de Vandekeybus. Ils prennent simplement chaque fois une autre forme.
Cette multiplicité de projets est rendue possible, pour une part, grâce à la collaboration avec des danseurs, des circassiens, des acteurs, des musiciens et d’autres artistes issus des disciplines les plus diverses. Et tout naturellement la musique, le son sont devenus le fil conducteur de son oeuvre (...)
En septembre 2015 sort le premier long métrage de Vandekeybus "Galloping Mind". Tourné en Hongrie et au bord de la Mer Noire en Roumanie, le film raconte une histoire dramatique de liens familiaux, de trahison et de triangles relationnels avec Jerry Killick, Natali Broods et une bande d’enfants à cheval dans les rôles principaux.
Source : Site de la compagnie Ultima Vez
En savoir plus : ultimavez.com
Picq, Charles
Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.
Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges".
Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :
• Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
• Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
• Il initie les "présentations de saisons" en image.
• Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.
• Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web, il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
Source : Maison de la Danse de Lyon
Ultima Vez
Direction artistique: Wim Vandekeybus
Année de création: 1986
Ultima Vez a été fondée en 1986 en tant que société et compagnie de danse du chorégraphe, metteur en scène et cinéaste Wim Vandekeybus. Depuis sa fondation, Ultima Vez a fortement développé ses activités en tant que compagnie internationale de danse contemporaine avec une base forte à Bruxelles et en Flandre.
Actuellement, les activités de Ultima Vez s'articulent autour de:
- La création, la production, la distribution et la promotion du travail artistique de Wim Vandekeybus
- L'organisation d'activités éducatives pour les différents publics
- Le soutien et les conseils de chorégraphes à travers le Réseau européen Life Long Burning
Source : Site de la compagnie Ultima Vez
En savoir plus : ultimavez.com
Les porteuses de mauvaise nouvelle
Direction artistique / Conception : Wim Vandekeybus
Assistance direction artistique / conception : Eduardo Torroja
Chorégraphie : Wim Vandekeybus
Musique originale : Thierry De Mey
Lumières : Ralf Nonn, Wim Vandekeybus
Costumes : Isabelle Lhoas, Frédéric Denis
Décors : Johan Daenen
Direction technique : Ralf Nonn
Son : Karin Demedts, Davy Deschepper
Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Ultima Vez, Companhia Instável, Teatro Nacional S. João (Porto); PACT Zollverein/CZNRW, Essen; Teatro Comunale di Ferrara.
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Maison de la Danse de Lyon - Charles Picq, 2005
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