Del Quivir
2010 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Angeles Galbaldon, Maria (Spain)
Présentée dans la/les collection(s) : Biennale de la danse , Biennale de la danse - 2010
Producteur vidéo : Biennale de la danse
Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon
Del Quivir
2010 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Angeles Galbaldon, Maria (Spain)
Présentée dans la/les collection(s) : Biennale de la danse , Biennale de la danse - 2010
Producteur vidéo : Biennale de la danse
Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon
Del Quivir
Chant, musique et danse invitent au voyage, Del Quivir, interprété par Ángeles Gabaldón, est une promenade le long du grand fleuve andalou, le Guadalquivir.
Le parcours exemplaire d’Ángeles Gabaldón ne se limite pas à la plus pure tradition flamenca. Il traverse différents styles de danse. C’est pourquoi les spectacles de la danseuse sévillane sont métissés d’autres apports.A la façon d’un carnet de voyage, Del Quivir est nourri de subtiles sensations. Tour à tour puissantes ou méditatives, elles sont inspirées par le paysage, son histoire, sa beauté et ses troubles. Construit en sept scènes, le spectacle suit les méandres du fleuve depuis sa source, à Jaen jusqu’à son débouché dans la mer, à Sanlúcar. Le temps pour Ángeles Gabaldón d’introduire chant, percussions et instruments d’origine arabe, de magnifier son et matière de l’eau, d’interpréter de nouvelles danses avec éventail et superbe " bata de cola " – la majestueuse et traditionnelle robe à traîne – entre tanguillos, tarantos et guajira.
Source : Biennale de la danse 2010
Angeles Galbaldon, Maria
Maria Ángeles Gabaldón naît à Séville et commence à étudier la danse à l'âge de dix ans. Elle obtient des diplômes en danse espagnole et en ballet classique du Conservatoire de danse de Séville. À Séville et à Madrid, elle danse auprès de maîtres tels que Matilde Coral, Manolo Marín, Ziro, El Mimbre, Milagros Mengíbar, Manolete, Javier Latorre, Merche Esmeralda, Ana María Bueno, Eva Yerbabuena, Juana Amaya, Javier Cruz, Alejandro Granados et Belén Maya. Elle danse sur les cinq continents, participant à de grands programmes nationaux et internationaux tels que la Biennale de Flamenco de Séville, le Festival de Jerez, le Mercat de las Flors (Barcelone), la Biennale de la Danse de Lyon ou la Tanzmesse nrw (Düsseldorf), en plus de se produire dans des des lieux tels que le Metropolitan de New York, Teatro Maestranza (Séville) entre autres. Elle a une remarquable carrière d'enseignante, en Espagne où elle a été professeur invitée à l'Institut de théâtre de Barcelone en 2005, ainsi qu'à l'étranger dans des festivals et écoles de danse au Japon, au Mexique, en France, en Allemagne, en Autriche, en Pologne, en Suisse, en Australie et Turquie. Au cours de sa brillante carrière d'artiste, elle remporte de nombreux prix, dont le premier prix national Perla de Cádiz pour la meilleure chorégraphie Alegrías et le premier prix national El Desplante 2002 du festival international Cante de las Minas à La Unión. Elle est deux fois la seule femme finaliste à la Biennale de Flamenco de Séville et, avec son premier spectacle, Inmigración, elle reçoit le Prix Flamenco Hoy Critics Choice pour le meilleur spectacle et la meilleure compagnie.
Dans sa danse, Ángeles unit les sentiments et la passion les plus caractéristiques du flamenco avec l'élégance et la subtilité du ballet classique espagnol d'une manière simple et naturelle, alliant force et tempérance avec des éléments d'autres genres tels que la danse contemporaine, faisant de ses performances un véritable creuset d'expression artistique.
Source : Site web de Maria Ángeles Gabaldón
En savoir plus : www.angeles-gabaldon.com
Picq, Charles
Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.
Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges".
Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :
• Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
• Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
• Il initie les "présentations de saisons" en image.
• Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.
• Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web, il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
Source : Maison de la Danse de Lyon
Del Quivir
Direction artistique / Conception : Ángeles Gabaldón
Chorégraphie : Ángeles Gabaldón
Interprétation : Ángeles Gabaldón
Musique originale : Raúl Cantizano, Antonio Montiel, Alicia Acuña
Lumières : Ada Bonade
Costumes : Yolanda Real y Lina
Son : Félix Vázquez
Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Cie. Ángeles Gabaldó
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Biennale de la danse - Charles Picq, 2010
Danse et arts numériques
Partenaires artistiques de K. Danse
La compagnie Dyptik
Danse sur Mobilier urbain dissuasif
Les racines de la diversité en danse contemporaine
CHRISTIAN & FRANÇOIS BEN AÏM ET L'ÉLAN VITAL - échappées chorégraphiques salvatrices
Les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis
Latitudes contemporaines
40 ans de rock et danse
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
Danses indiennes
Une découverte de la danse indienne au travers de créations chorégraphiques qui la dévoilent, la suggèrent, la revisitent ou la transforment !
La Nouvelle Danse Française des années 80
En France, à l’aube des années 80, une génération de jeunes s’empare du corps dansant pour esquisser leur vision singulière du monde.
Le corps et les conflits
Regard sur les liens qui semblent émerger entre le corps dansant et le monde envisagé comme un organisme vivant.
James Carlès
les ballets C de la B et l'esthétique du réel
Rencontres avec la littérature
La collaboration entre chorégraphe et écrivain fait apparaître de multiples combinaisons. Parfois, ce n’est plus le chorégraphe qui « met en danse » le texte d’un auteur, c’est l’écrivain qui prend la danse pour sujet ou matière de son texte.
Quand le réel s'invite
Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?
Danse et performance
Echantillon d’extraits des figures burlesques de la Performance en danse.
Le Butô
Une découverte de la danse japonaise du Butô.
Folklores dites-vous ?
Présentation de la manière dont les chorégraphes contemporains revisitent le Folklore.