Haya Tchahanta
2022 - Réalisateur-rice : Quillet, Agnès
Chorégraphe(s) : Traoré, Ismaila (Mali) Diarrassouba, Ibrahim William (Cote d'Ivoire)
Présentée dans la/les collection(s) : Don Sen Folo
Haya Tchahanta
2022 - Réalisateur-rice : Quillet, Agnès
Chorégraphe(s) : Traoré, Ismaila (Mali) Diarrassouba, Ibrahim William (Cote d'Ivoire)
Présentée dans la/les collection(s) : Don Sen Folo
HAYA TCHAHANTA
Dans le cadre du programme "Expérience Fila Ni Kélé - Bamako #2" de Don Sen Folo, résidences de création en danse contemporaine et restitutions dans les marchés de Bamako. Un concept de Lassina KONE.
Création de "HAYA TCHAHANTA" par les lauréats 2022, Ibrahim William Diarrassouba & Ismaila Traoré
L’oisiveté est la mère des vices.
La négligence de cet espace a développé une certaine inactivité autour qui favorise cet atmosphère ocieuse.
L’insalubrité s’y est installé progressivement jusqu’à en faire finalement un endroit nauséabond et improductif d’où son nom cimetière du marché. Il ressemble de plus en plus à un champ de bataille.
L’insociabilité nous laissent plusieurs jeunes et enfants de rue oisifs qui aujourd’hui en on fait leur temple, ils s’y retrouvent comme abandonnés et livrés à leur propre sort.
Ils paressent, consomment des substances illicites, s’accrochent aux jeux de Hazard en s’enfonçant quotidiennement dans cette atmosphère aussi sombre qu’un futur incertain vers lequel ils se dirigent malheureusement.
HAYA TCHAHANTA qui signifie en langue Soraï URGENCE est l’interpellation face à la nécessité de réappropriation de nos devoirs.
Aller à la reconquête d’un espace, d’une vie, d’un amour ou d’une situation qui semble être désespérée est risqué mais possible.
Chaque être est une lumière, la lumière c’est l’espoir.
Fila Ni Kélé-Bamako #2 est soutenu par la fondation Stichting DOEN, le programme ACP-UE CULTURE (Afrique de l'Ouest) - AWA, l'ambassade du Grand-Duché du Luxembourg, de la fédération Founoufounou, du réseau Kya, de l'auberge Djamilla, de Yamarou PHOTO, et de l'association Côté Court.
HAYA TCHAHANTA
Dans le cadre du programme "Expérience Fila Ni Kélé - Bamako #2" de Don Sen Folo, résidences de création en danse contemporaine et restitutions dans les marchés de Bamako. Un concept de Lassina KONE.
Création de "HAYA TCHAHANTA" par les lauréats 2022, Ibrahim William Diarrassouba & Ismaila Traoré
L’oisiveté est la mère des vices.
La négligence de cet espace a développé une certaine inactivité autour qui favorise cet atmosphère ocieuse.
L’insalubrité s’y est installé progressivement jusqu’à en faire finalement un endroit nauséabond et improductif d’où son nom cimetière du marché. Il ressemble de plus en plus à un champ de bataille.
L’insociabilité nous laissent plusieurs jeunes et enfants de rue oisifs qui aujourd’hui en on fait leur temple, ils s’y retrouvent comme abandonnés et livrés à leur propre sort.
Ils paressent, consomment des substances illicites, s’accrochent aux jeux de Hazard en s’enfonçant quotidiennement dans cette atmosphère aussi sombre qu’un futur incertain vers lequel ils se dirigent malheureusement.
HAYA TCHAHANTA qui signifie en langue Soraï URGENCE est l’interpellation face à la nécessité de réappropriation de nos devoirs.
Aller à la reconquête d’un espace, d’une vie, d’un amour ou d’une situation qui semble être désespérée est risqué mais possible.
Chaque être est une lumière, la lumière c’est l’espoir.
Fila Ni Kélé-Bamako #2 est soutenu par la fondation Stichting DOEN, le programme ACP-UE CULTURE (Afrique de l'Ouest) - AWA, l'ambassade du Grand-Duché du Luxembourg, de la fédération Founoufounou, du réseau Kya, de l'auberge Djamilla, de Yamarou PHOTO, et de l'association Côté Court.
Traoré, Ismaila
Danseur interprète, performeur, percussionniste. Né le 09 décembre 1991 à Bamako, Ismaila est un jeune danseur très passionné, de cette passion qui le pousse à chamboule sa vie d’étudiant en quittant la faculté de science économique (FSEG) pour embrasser une carrière de danseur, en entrant en section danse au conservatoire des Arts et Métier Multimédia Balla Fasséké Kouyaté du Mali ou il obtient un Master II danse en 2017. Il intègre très tôt la troupe de danse JAAMA YELEEN du Pr Hamadou Sanogo et de Ousmane Baba Coulibaly avec lequel il se format durant des années et deviens un danseur à temps plein de ladite troupe. Avec ses compétences variées en danse (traditionnelle, contemporaine, urbaine et la capoeira du Brésil.), il est solliciter par de nombreuses troupe et compagnie de danse qu’il accompagne dans les spectacles, festival et créations. Depuis il évolue dans le milieu à travers des formations, festivals, créations, spectacle et stage afférent tel que: l’ART DE L’ENSEIGNEMENT à l’Ecole des Sables au Sénégal en collaboration avec le CDC, la termitière(Burkina Faso); la pièce de danse «TCHII» qui fit une tournée communal au Mali dont 06 commune chorégraphié par la jeune danseuse chorégraphe Bibata Ibrahim Maiga etc. Il encadre aussi en danse auprès d’un public jeunes au sein de la Cie I Dance’O et de Jaama Yeleen ainsi que dans différentes Etablissement scolaire du Mali. Il est en cour de création pour son solo «MAKUN»
Diarrassouba, Ibrahim William
Ibrahim William DIARRASSOUBA se passionne pour la danse depuis tout petit. Il devient danseur professionnel en 2016 après son admission à l’INSAAC (Institut Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle) par voie de concours.
Il participe à plusieurs stages et festivals internationaux : en Égypte au DRUMS FESTIVAL en 2017, au Bénin pour le FESTIVAL CONNEXION en 2019 et le FESTIVAL AGOGO en 2020, au Burkina Faso a ANKATA en 2020 et au FIDO en 2021 et au Mali en lors de l’expérience ne FILA NI KELE 2. Il complète sa formation en apprenant auprès de plusieurs chorégraphes tel que Marcel GBEFFA, Andréya OUAMBA, Rachelle AGBOSSOU, Didier DJELEHOUNDE, Koffi ALLADE, Serge aimé COULIBALY, Irène TASSEMEDO, SIDIBE blondin moussa, henry HADDAD, NIKOKO Herman, BAMBA Hassan Saïd, Lassina KONE.
Engagé pour sa passion, il travaille toujours et se tient prêt à servir car la danse, c’est sa vie.
Quillet, Agnès
Don Sen Folo
A travers nos expériences de création, production, diffusion, partage et formation, notre structure s'est développée en se spécialisant ces dernières années dans le domaine de la danse contemporaine de création en espace public / In Situ/ In Vivo. Ce choix de spécialisation est le fruit de la réflexion et du constat suivant : si nous voulons contribuer au développement du secteur créatif nous devons faire en sorte que les artistes maliens et africains puissent se former, s'informer, apprendre, communiquer et transmettre leurs savoir-faire et leurs créations dans un espace qui appartient à tous, un espace public en accès libre pour tous les citoyens.
La leçon que nous avons tirée de toutes nos expériences est que nous devons réfléchir à la création/production et diffusion de biens et services, et à de la formation adaptées à la situation de nos artistes, adaptés à nos contextes de vie, adaptés à notre culture en Afrique. L’Art vivant et l’expression contemporaine doivent demeurer dans notre quotidien, pour l’épanouissement de ceux qui créent, pour le bien être de nos populations, pour promouvoir la cohésion sociale de nos sociétés, et enfin pour ériger l’économie culturelle comme moteur de notre pays.
Don Sen Folo organise des formations longues (Corps pour XXIIe siècle, sur 3 ans), des formations courtes (ateliers Djô Ka Filé, programme de professionnalisation implanté dans les localités pour permettre aux artistes locaux de développer leur travail chorégraphique en espace public), des résidences artistiques (Gninini dans son lieu le Don Sen Folo - LAB implanté sur la commune rurale de Bancoumana au Mali), un festival basé sur des résidences et des représentations dans les marchés de Bamako (Fila Ni Kélé - Bamako) afin de :
- Soutenir l'émergence de nouvelles pratiques artistiques, tel que la création chorégraphique en espace public, adaptées à nos cultures et sociétés.
-Faciliter l'accès à la culture aux populations. Promouvoir la danse contemporaine au niveau local.
- Développer le secteur culturel avec des relations inter-Afrique. Mettre en commun des expériences et des expertises pour dessiner de nouvelles opportunités pour les artistes et les structures nationales et internationales.
Haya Tchahanta
Direction artistique / Conception : Fila Ni Kélé - Bamako, un concept de Lassina KONE
Chorégraphie : Ibrahim William Diarrassouba et Ismaila Traoré
Interprétation : Ibrahim William Diarrassouba et Ismaila Traoré
Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Don Sen Folo
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Don Sen Folo
Durée : 36'06
Danse et arts numériques
Partenaires artistiques de K. Danse
ANIMAL KINGODM, Parole des participants
Danse sur Mobilier urbain dissuasif
Noé Soulier : Repenser le mouvement
(LA)HORDE : RÉSISTER ENSEMBLE
Danses indiennes
Une découverte de la danse indienne au travers de créations chorégraphiques qui la dévoilent, la suggèrent, la revisitent ou la transforment !
Le corps et les conflits
Regard sur les liens qui semblent émerger entre le corps dansant et le monde envisagé comme un organisme vivant.
Quand le réel s'invite
Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?
Danse et performance
Echantillon d’extraits des figures burlesques de la Performance en danse.
Le défilé de la Biennale de la danse
Danse et arts plastiques
Danse et arts plastiques sont parfois en collaboration sur scène. Ce Parcours ne peut aborder toutes les formes de leurs relations ; il tente seulement de montrer l'importance de la création plastique dans certaines chorégraphies.
La filiation « américaine » de la danse moderne. [1930-1950] De la Modern Dance expressive à une vision moderne abstraite.
EIVV 2022 Danse avec la caméra
EIVV 2022 Le montage qui danse
Pourquoi je danse ?
Käfig, portrait d'une compagnie
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
Danses de mains
Ce parcours présente différents extraits vidéo où les mains sont au cœur du mouvement.