Babel (words)
2011 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Jalet, Damien (Belgium) Cherkaoui, Sidi Larbi (Belgium)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 2010 > 2019
Producteur vidéo : Maison de la Danse
Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon
Babel (words)
2011 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Jalet, Damien (Belgium) Cherkaoui, Sidi Larbi (Belgium)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , Saisons 2010 > 2019
Producteur vidéo : Maison de la Danse
Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon
Babel (words)
Babel (words) prend pour point de départ l'instant précis du récit de la Tour de Babel où Dieu punit ceux qui ont élevé une tour en son nom, entraînant le chaos en les divisant selon des langues, des cultures et des pays différents.
Concrètement : le premier jour de répétition, c'est un microcosme de dix-huit artistes venant de treize pays, parlant quinze langues, représentant sept religions et issus de divers milieux de performance, qui a rejoint les chorégraphes Sidi Larbi Cherkaoui et Damien Jalet, ainsi que le plasticien Antony Gormley, pour entreprendre un nouveau voyage. Et c'est dans ce maelström tourbillonnant d'identités, de nationalités et de cultures qu'ils ont trouvé leur inspiration. Là où le langage est à la fois verbe et mouvement, là où il unit et divise, où il rend la communication à la fois possible et impossible, et où il est chargé de sens tout en étant profondément insignifiant.
Au cours de la réflexion et de la réalisation a ainsi émergé une ville de diversité, un réseau de possibilités, où les gigantesques cadres en trois dimensions d'Antony Gormley sont dressés, renversés et transformés, comme s'ils n'étaient faits de rien d'autre que de nos pensées. L'espace est disséqué et on se l'approprie, créant des territoires, des axes et des frontières qui évoquent les divisions géopolitiques, souvent aléatoires mais parfois meurtrières, d'un pays, ainsi que les barrières et les limites que nous nous imposons et que nous imposons à autrui. Mais, bien sûr, tout en offrant refuge et apaisement dans un paysage où règnent le chaos et la complexité, les structures favorisent des moments tendres, secrets et intimes sans lesquels aucun de nous ne pourrait survivre. Cette ville n'est pas sans rappeler le paysage où s'aventure le philosophe français Michel de Certeau dans son ouvrage «L'Invention du quotidien», dans lequel des vagabonds marchent à l'aveuglette, en prenant des décisions à la milliseconde, sans savoir ce qu'ils font, ni pourquoi ils le font, ni ce que cela signifie, ou encore où cela les mènera.
Les gens adoptent par hasard leurs choix de conviction, de communauté et d'identité qui, tout en apportant un soutien, ferment des portes, dressent des barrières et posent des limites. Et bien sûr, ils construisent des tours d'ivoire, non seulement pour afficher leur position et leur prospérité, mais aussi pour poursuivre leur quête d'une certaine forme de savoir et d'instruction plus élevés. Observer en vue aérienne et à distance ces motifs silencieux, tout en bas, génère une sensation de confort, de contrôle et d'ordre, car, comme le disait un vieux panneau au sommet du World Trade Center : « It's hard to be down when you're up » !
Le voyage de Sidi Larbi Cherkaoui et de Damien Jalet a en effet été amorcé par leur profonde « foi en la conviction qu'il existe quelque chose d'important » et leur quête commune de ce que pourrait être ce quelque chose. En cours de réalisation, le spectacle a révélé à ses créateurs que leur travail renversait la Tour de Babel : l'important n'était pas la multiplicité extérieure de nos différences (régionales, spirituelles, linguistiques, physiques...), mais le lien sous-jacent qui nous unit plus qu'il nous divise, à savoir les responsabilités que nous partageons tous. Ainsi, de même que la pièce évolue vers une sorte d'oméga, nous observons une dilution des barrières artificielles, des structures, des définitions et des technologies que nous cherchons à imposer à nos mondes géographiques, virtuels, politiques ou spirituels. Il nous reste quelque chose de plus primitif, transcendant et unifié. Il nous reste nous autres. Complètement et littéralement enchaînés les uns aux autres par nos neurones, et séparés uniquement par notre peau, ainsi que l'énoncent les mots du neurologue Vilayanur S. Ramachandran au cours de la performance.
Source : Programme de salle Maison de la Danse
En savoir plus : www.east-man.be
Jalet, Damien
Damien Jalet est un chorégraphe et un interprète freelance français et belge. Depuis 2000, il travaille régulièrement en collaboration avec Sidi Larbi Cherkaoui, pour les compagnies Less ballets C. de la B., Toneelhuis et Eastman vzw (il a dansé dans "Rien de Rien", "Fo", "Tempus Fugit" "Myth" et récemment "TeZukA").
En 2002, Jalet et Cherkaoui ont créé "d'avant", avec Luc Dunberry et Juan Kruz Diaz de Garaio Esnaola, produits par Sasha Waltz et invités. Jalet et Cherkaoui ont également signé "Babel (words)". Damien Jalet travaille aussi régulièrement avec la chorégraphe islandais Erna Ómarsdóttir. Ensemble, ils créent un certain nombre d'œuvres en collaboration avec l'artiste visuelle Gabriela Fridriksdóttir. Ómarsdóttir et Jalet ont également créé "Black Marrow" pour la société australienne renommée Chunky Move au festival international de Melbourne en 2009.
En 2008, Jalet a créé "Three Spells" avec la danseuse Alexandra Gilbert et le compositeur Christian Fennesz pour le Festival international des arts de Tokyo. Il a également travaillé avec d'autres chorégraphes de renom, comme Wim Vandekeybus pour "The day of heaven and hell" (Le jour du ciel et de l'enfer) et Akram Khan pour qui il a conçu un segment solo dans la pièce "Desh".
Jalet a développé un grand nombre de collaborations avec des artistes de haut niveau dans différents domaines, tels que le directeur de théâtre Arthur Nauzyciel, des artistes visuels (Antony Gormley, Jim Hodges), des musiciens (Lady and Bird, Olof Arnalds, Florence + The Machine, Editors) . Il a également travaillé avec le photographe Nick Knight et le designer Bernhard Willhelm (pour la vidéo "Men in tights"), et avec le philosophe Giorgio Agemben et le musicien contemporain Stefano Scodanibio (l'opéra "Il cielo sulla terra").
En février 2013, il a dirigé une importante installation chorégraphique intitulée "les médusés" dans certaines des plus grandes salles du musée du Louvre à Paris avec la participation de plus de 30 artistes de différentes disciplines. En mai 2013, il crée en collaboration avec Cherkaoui et l'artiste de performance légendaire Marina Abramovic, une nouvelle version du "Bolero" de Ravel pour le Ballet de l'Opéra de paris avec les costumes Givenchy du styliste Riccardo Tisci et 11 danseurs dont les étoiles Aurélie Dupont, Marie Agnès Gillot et Jérémie Bélingard.
Source : Site de Damien Jalet
En savoir plus : damienjalet.com
Cherkaoui, Sidi Larbi
Sidi Larbi Cherkaoui a débuté comme chorégraphe en 1999 dans "Anonymous Society", une comédie musicale contemporaine d’Andrew Wale. Depuis lors, il a signé de nombreuses chorégraphies, qui lui ont valu une série de prix parmi lesquels le Fringe First Award et le Total Theatre Award à Édimbourg, le Barclay Theatre Award à Londres, le Special Prize au BITEF Festival de Belgrade, le prix Nijinski du ‘chorégraphe prometteur’ à Monte-Carlo, le Movimentos Award à Wolfsburg, le Helpmann Award en Australie. En 2008 et 2011, le magazine Tanz le proclame ‘chorégraphe de l’année’. En 2009, la fondation Alfred Toepfer lui attribue le Kairos Prize pour sa vision artistique et sa recherche d’un dialogue culturel ; il reçoit aussi le titre de ‘meilleur chorégraphe’ au National Dance Awards et celui de ‘meilleure production de l’année’ par le magazine Tanz pour "Sutra". En 2011 un Giraldillo Award lui est attribué pour "Dunas", un Benois de la danse et deux Laurence Olivier Awards pour "Babel(words)" et il est proclamé ‘jeune artiste pour le dialogue interculturel entre les mondes arabe et occidental’ par Unesco.
Sidi Larbi Cherkaoui a réalisé ses premières chorégraphies en tant que membre du collectif Les Ballets C. de la B. – "Rien de rien" (2000), "Foi" (2003), "Tempus Fugit" (2004). Parallèlement, il a collaboré à divers projets : "Ook" (2000) avec le chorégraphe Nienke Reehorst au Theater Stap à Turnhout ; "D’avant" (2002) avec Damien Jalet et la compagnie Sasha Waltz & Guests ; "Zero degrees" (2005) avec Akram Khan. Sidi Larbi Cherkaoui a travaillé pour de nombreux théâtres, opéras et compagnies de danse, allant des Ballets de Monte-Carlo ("In memoriam", 2004 et "Mea culpa", 2006), au Sadler’s Wells à Londres ("Sutra", 2008), en passant par le Grand Théâtre de Genève (Loin, 2005), les Ballets Cullberg de Stockholm ("End", 2006), le Royal Danish Ballet ("L’Homme de bois", 2007) et la Monnaie ("Apocrifu", 2007). À la Monnaie, il a également assuré la chorégraphie de la création de l’opéra House of the Sleeping Beauties de Kris Defoort. De 2006 jusqu'à 2009, il est artiste en résidence au Toneelhuis où il a créé les productions "Myth" (2007) et "Origine" (2008). Depuis 2008, il est également artiste associé du Sadler’s Wells de Londres.
En 2009, il a créé sa première commande américaine, Orbo Novo, pour le Cedar Lake Contemporary Ballet à New York, ainsi que plusieurs duos, "Faun" au Sadler’s Wells et "Dunas" pour Creaciones Artisticas Dunas. Pour Dunas, il a reçu le Prix Giraldillo du meilleur spectacle à la Biennale de Flamenco de Séville en 2011 et le National Dance Award pour une performance exceptionnelle homme (moderne) en 2012.
2010 marqua le lancement de sa nouvelle compagnie, Eastman, en résidence au Campus des Arts International deSingel à Anvers. Il réalise la chorégraphie de Das Reingold (Wagner) dans une mise en scène de Guy Cassiers à la Scala de Milan et un nouveau duo Play avec Shantala Shivalingappa. Avec Damien Jalet et Antony Gormley il crée Babel(words), la partie finale du triptyque qu’il a commencé avec Foi et Myth. Babel(words) à triomphé au 2011 Laurence Olivier Awards, en remportant le prix pour la meilleure production de danse et le prix pour la réalisation exceptionnelle en danse pour la scénographie par Antony Gormley.
En 2011 Sidi Larbi Cherkaoui a assuré la chorégraphie Labyrinth pour le ballet National de Hollande. La meme année, il crée "TeZukA", une pièce pour 15 danseurs et musiciens sur l’oeuvre du maître de manga japonais Osamu Tezuka. A la fin de l'année, il a chorégraphié "Constellation", un solo de 16 minutes pour "Rising", un spectacle composite exécuté par le danseur de Kathak Aakash Odedra.
En 2012, il crée "Puz/zle" avec 11 danseurs et les chanteurs corses d’A Filetta, la chanteuse libanaise Fadia Tomb El-Hage et le musicien japonais Kazunari Abe. Il a également assuré la chorégraphie d'Anna Karénine, le film de Joe Wright avec Keira Knightley et Jude Law.
Au printemps 2013 Cherkaoui a créé "4D" pour Eastman, "Boléro" (en collaboration avec Damien Jalet et Marina Abramovic) pour le Ballet de l'Opera de Paris, et "M¡longa", un spectacle de tango, pour Sadler's Wells. Fin 2013 a eu lieu à Pékin la première de "生长genesis", la nouvelle production d'Eastman.
En Janvier 2015 a lieu la première de Pluto à Tokyo, ou il met en scène une nouvelle adaptation au théâtre du manga d’ Urasawa, produite par le Bunkamura. Il continue en Allemagne avec la chorégraphie de l’Oiseau de Feu de Stravinsky pour les Ballets de Stuttgart. En aout dernier, Sidi Larbi Cherkaoui assure la chorégraphie du mouvement pour Hamlet, mis en scène par Lynsdey Turner à Londres avec la participation de Benedict Cumberbatch. La première de sa dernière production, Fractus V, une pièce sur la rupture naturelle nécessaire pour grandir et devenir plus fort, a lieu en septembre 2015 à Anvers et le spectacle est actuellement en tournée internationale.
Sidi Larbi Cherkaoui a été récemment nommé directeur artistique du Ballet Royal de Flandres, fonction qu’il associe à la direction artistique de sa compagnie Eastman.
Source : Eastman⎜Sidi Larbi Cherkaoui
En savoir plus : east-man.be
Picq, Charles
Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.
Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges".
Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :
• Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
• Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
• Il initie les "présentations de saisons" en image.
• Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.
• Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web, il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
Source : Maison de la Danse de Lyon
Babel (words)
Chorégraphie : Sidi Larbi Cherkaoui & Damien Jalet
Assistance à la chorégraphie : Nienke Reehorst
Interprétation : Navala Chaudhari, Francis Ducharme, Darryl e. Woods, Jon Filip Fahlstrom, Damien Fournier, Ben Fury, Vala Runarsdottir, Christine Leboutte, Ulrika Kinn Svensson, Kazutomi Kozuki, Sandra Delgadillo Porcel, James O'Hara, Helder Seabra
Conseil artistique / Dramaturgie : Lou Cope
Mise en scène : Sidi Larbi Cherkaoui & Damien Jalet
Musique live : Patrizia Bovi, Mahabub Khan, Sattar Khan, Gabriele Miracle, Kazunari Abe (Kodo)
Lumières : Adam Carrée
Costumes : Alexandra Gilbert
Autres collaborations : Antony Gormley (concept visuel et design)
Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Production Eastman vzw et Théâtre Royal de la Monnaie/De Munt (Bruxelles) coproduction : Fondation d'entreprise Hermès, Etablissement Public du Parc et de la Grande Halle de la Villette (Paris), Sadler's Wells (Londres), Festival Boulevard (Den Bosch Pays- Bas), Festspielhaus (St. Pölten), Grand Théâtre de Luxembourg, International Dance festival Switzerland - Migros Culture Percentage, Fondazione Musica per Roma (Rome) et Ludwigsburger Schlossfestspiele (Allemagne) Babel (words) est une commande de DASH ARTS (Grande Bretagne) pour la Dash Arabic Series, dans le cadre de la Saison des arts arabes en 2010 avec le soutien du Garrick Charitable Trust Eastman est une compagnie en résidence à Het Toneelhuis à Anvers.
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Maison de la danse 2011
Durée : 105'
ANIMAL KINGODM, Parole des participants
Les racines de la diversité en danse contemporaine
Noé Soulier : Repenser le mouvement
(LA)HORDE : RÉSISTER ENSEMBLE
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Les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis
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40 ans de rock et danse
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
Danses indiennes
Une découverte de la danse indienne au travers de créations chorégraphiques qui la dévoilent, la suggèrent, la revisitent ou la transforment !
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les ballets C de la B et l'esthétique du réel
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La collaboration entre chorégraphe et écrivain fait apparaître de multiples combinaisons. Parfois, ce n’est plus le chorégraphe qui « met en danse » le texte d’un auteur, c’est l’écrivain qui prend la danse pour sujet ou matière de son texte.
Quand le réel s'invite
Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?
Danse et performance
Echantillon d’extraits des figures burlesques de la Performance en danse.
Folklores dites-vous ?
Présentation de la manière dont les chorégraphes contemporains revisitent le Folklore.
Les états de corps
Explication du terme « état de corps » pour la danse.