Cabaret Latin
2005 - Réalisateurs : Picq, Charles - Riolon, Luc
Chorégraphe(s) : Saporta, Karine (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Archives Label Karine Saporta
Producteur vidéo : Les films Penelope / Leslie F. Grunberg /RD Studios Production /Etienne Dervieux
Cabaret Latin
2005 - Réalisateurs : Picq, Charles - Riolon, Luc
Chorégraphe(s) : Saporta, Karine (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Archives Label Karine Saporta
Producteur vidéo : Les films Penelope / Leslie F. Grunberg /RD Studios Production /Etienne Dervieux
Cabaret Latin
Dans ce lieu magique qu’est le cabaret sauvage dans le Parc de la Villette à Paris, Karine Saporta a créé une véritable soirée-spectacle, un moment d’évasion et de voyage à destination de l’Amérique Latine.
Partant de la métaphore du bateau figuré par ce chapiteau de bois semblable a un grand navire, elle a construit un spectacle festif, flamboyant, drôle et tendre qui se termine par un bal mené par les danseurs pour y entraîner le public.
Sur des rythmes de Tango, Salsa, Samba, Rumba, Cha-Cha, le spectacle composé de courtes séquences emprunte aux légendes, fresques et ambiances latino-américaine.
Le décor intégrant les tables et les chaises disposés en cercle autour de la piste, le climat est sensuel et chaleureux puisque le spectacle mêle le public à son univers.
Place à la danse, à la musique, au baroque et au rêve...
Pour découvrir ce spectacle sur le site du Label Karine Saporta, veuillez cliquer ici.
Saporta, Karine
Aujourd’hui considérée comme l’une des figures majeures de la danse contemporaine française, c’est au Centre Chorégraphique National de Caen/Normandie qu’elle dirige pendant seize ans, à la Bibliothèque nationale de France et actuellement, au sein de KASA Les Maisons Karine Saporta, que la chorégraphe développe progressivement sa démarche. Une démarche, en quête d’innovation permanente, qui entretient des liens très étroits avec le monde des arts plastiques et de la philosophie.
Les institutions les plus prestigieuses, en France comme à l’étranger, lui passent commande et programment ses créations (Festival d’Avignon, Théâtre National de Chaillot, Comédie française, Opéra de Paris, et autres...)
Quittant parfois sa propre structure, la chorégraphe crée des œuvres pour d’autres compagnies au sein d’Opéras ou de Théâtres Nationaux tels que la Comédie Française, l’Opéra de Paris, l’Opéra de Lyon, l’Opéra du Caire, le Théâtre Mariinsky – Saint-Petersbourg, le National Gugak Center-Corée du Sud, le Polski Teatr Tanca, l’Opéra de Tirana, etc...
L’artiste poursuit également une brillante carrière de photographe. Ses photographies sont exposées dans des musées et centres d’art à travers le monde (en particulier Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Musée National de l’Histoire de l’Immigration, Maison Européenne de la Photographie à Paris, Maison de la Photographie de Lille, SNCF Gares & Connexion, Galeries Photo FNAC, Festival Planches contact de Deauville, Festival «Les femmes s’exposent» à Houlgate, Festival des Transphotographiques de Lille, Théâtre National de Chaillot, Maison des Arts de Créteil, Festival de Films de Femmes de Créteil, Festival de la Photo de Biarritz, Abbaye du Mont Saint-Michel, Institut Français de Munich, Festival d’Avignon, Centre des Arts d’Enghien-les-Bains, Musée des Beaux-arts et de la dentelle d’Alençon, etc.)
Karine Saporta est aujourd’hui implantée en Normandie au sein des Maisons KASA qui comprennent Le Dansoir et La Mue dédiés au spectacle vivant ainsi que Belle Rive, Espace d’art-Maison de la photographie Normandie et KAGE dédiés aux arts visuels.
Picq, Charles
Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.
Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges".
Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :
• Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
• Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
• Il initie les "présentations de saisons" en image.
• Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.
• Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web, il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
Source : Maison de la Danse de Lyon
Riolon, Luc
Après des études de mathématiques supérieures et de médecine, Luc Riolon débute la réalisation dans le cadre de sa faculté de médecine, puis rencontre les chorégraphes des années 1980 (Maguy Marin, Mark Tompkins, Josef Nadj, Daniel larrieu, Odile Duboc, Josette Baiz, Angelin Preljocaj, etc.) avec qui il tourne de nombreux films (recréation pour la caméra, captations). Dans les années 1980 avec le chorégraphe américain Mark Tompkins il introduit la vidéo sur la scène, retransmettant en direct sur des écrans géants les images qu'il tourne avec sa caméra en étant sur le plateau avec les danseurs, mélangeant images sur bande et direct.
Avec Daniel Larrieu, il participe à la création du spectacle Waterproof, chorégraphie contemporaine qui se déroule dans une piscine, en filmant en direct les danseurs évoluant dans l'eau et mixant les images en direct avec des images subaquatiques préenregistrées.
Puis il collabore pendant 10 ans avec Eve Ruggieri pour son émission « Musiques au cœur ». Il tourne avec elle de nombreux documentaires sur la musique classique, l'opéra et la danse.
À partir de 1999 il réalise des documentaires de vulgarisation scientifique, en suivant les travaux de chercheurs de terrain attachés à la résolution d’une énigme particulière. Ces deux domaines artistiques et scientifiques qui peuvent sembler bien séparés l’un de l’autre mais sont pourtant, au regard de Luc Riolon, animés de la même démarche. Le désir de comprendre le monde, que ce soit par l’art ou par la recherche scientifique, et restituer cette découverte au plus grand nombre. Parmi ses documentaires scientifiques récents, on peut citer par exemple « Tchernobyl, une histoire naturelle ?», « L’Énigme du Caïman Noir », « Voyage en eau trouble » ou « Delta du Nil : La fin du miracle ». Ces documentaires de vulgarisation scientifique ont récemment reçu des prix dans des festivals en France, comme à l’étranger.
Source: Vimeo
Label Karine Saporta
Cabaret Latin
Direction artistique / Conception : Karine Saporta
Chorégraphie : Karine Saporta
Assistance à la chorégraphie : Maud Tizon
Interprétation : Cyril Accorsi, Séverine Adamy, Céline Angibaud, David Berring, Olivier Collin, Olivier Dubois, Delphine Jardiné, Mélanie Marie, Carelo Puechbrossoux
Conseil artistique / Dramaturgie : Danses latines - Francisco Terto / Photo : Pierre Bourgeois
Costumes : Karien Charpentier et Frédérique Petit-Gautron
Décors : Jean Bauer
Son : Frédéric Pardon
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : France 3 Lyon
Durée : 1h07'
À corps et à cris
La compagnie Vlovajobpru
Latitudes contemporaines
40 ans de rock et danse
Le corps et les conflits
Regard sur les liens qui semblent émerger entre le corps dansant et le monde envisagé comme un organisme vivant.
les ballets C de la B et l'esthétique du réel
Quand le réel s'invite
Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?
Danse et performance
Echantillon d’extraits des figures burlesques de la Performance en danse.
La danse au Québec : Les corps déraisonnables
Première partie du Parcours consacré à la danse au Québec, voici un ensemble d’extraits présentant l’utilisation très physique du corps.
Pantomimes
Présentation de la pantomime dans les différents courants de la danse.
Danse et musique
Le rapport entre musique et création chorégraphique se décline différemment selon les courants, selon les siècles.
La petite histoire de Numeridanse
EIVV 2022 Le montage qui danse
Pourquoi je danse ?
Genèse des oeuvres
Un spectacle de danse se crée en plusieurs étapes qui se situent entre le moment où s’énonce un désir initial qui lance le projet, et celui de la première représentation.
Danses de mains
Ce parcours présente différents extraits vidéo où les mains sont au cœur du mouvement.
Une scène artistique hip hop en France
La danse classique occidentale entre dans la modernité du 20e siècle : Les Ballets russes et les Ballets suédois
Si le 19e siècle est celui du romantisme, l’entrée dans le nouveau siècle est synonyme de modernité ! Ce sera quelques décennies plus tard que lui sera attribué a posteriori un nom : « le néo-classique ».
Féminin - Masculin
Promenade entre les différentes conceptions et réceptions des genres dans les différents styles et époques de la danse.
[1970-2018] Développements néoclassiques : diffusion mondiale, répertoires multiples et dialogues avec la danse contemporaine
Avec les années 1970, l’élan des artistes vers un nouveau classique a plus d’un demi-siècle et ainsi plusieurs générations se sont déjà déployées depuis les Ballets Russes. Au fil des décennies, chacun a défendu ou défend la danse classique sous le signe de la nouveauté, de la singularité, de la connexion avec les autres arts et avec les préoccupations de son temps.