Djembefola
1991 - Réalisateur-rice : Chevallier, Laurent
Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture , CNC - Images de la culture
Djembefola
1991 - Réalisateur-rice : Chevallier, Laurent
Présentée dans la/les collection(s) : Ministère de la Culture , CNC - Images de la culture
Djembefola
Né en 1950 en Guinée, Mamady Keita, un des trois plus grands batteurs malinké, a été soliste durant 22 ans dans le célèbre ballet national Djoliba, fondé par Sékou Touré. Il vit aujourd'hui en Belgique. Après 26 ans d'absence, il rentre au village : exultation générale, fête et émotion. Un témoignage remarquable d'authenticité et d'intensité.
On plonge directement au coeur de l'Afrique, en Haute-Guinée, berceau de traditions multiséculaires. Notre "djembefola" (joueur de djembé) connaît la majeure partie des trois cents rythmes malinké et leur signification. Il est un des derniers à avoir été initié par la pratique villageoise, à la différence des percussionnistes formés dans les ballets. Harry Belafonte avait été subjugué par l'enfant (surnommé "Celui qui est né pour ça") alors âgé de 7 ans et l'avait enrôlé dans son film "Africa dance". Sur une idée de Pierre Marcault (spécialiste du djembé et ancien percussionniste de Jacques Higelin), ce documentaire a été tourné sur le vif. Rien de factice ni d'exotique dans ce film dont chaque scène est spontanée, y compris celle, cruciale, où le virtuose du djembé (tambour) retrouve sa famille.
Chevallier, Laurent
Laurent Chevallier est né le 6 juin 1955. Ses études de cinéma à Paris s’orientent dès le début vers le documentaire puisqu’il rédige un mémoire sur le "père" du film documentaire, Robert Flaherty (Nanouk l’esquimau, L’Homme d’Aran), et sur Joris Ivens (qui tourna son dernier film, Une Histoire de vent, en Chine à l’âge de quatre-vingt dix ans avec la présence de Laurent Chevallier à la caméra).
Après ses études, il est assistant cameraman ou directeur de la photographie pour de nombreux réalisateurs (Jean-Jacques Beineix, Jacques Rouffio, René Allio, Gérard Mordillat, Patrice Leconte, Gérard Oury).
À partir de 1979, il réalise de nombreux documentaires pour la télévision en France, au Cap Horn, dans l’Himalaya, au pôle Nord, en Patagonie, en Thaïlande, en Italie, en Irlande, au Pakistan, en Chine, au Canada, aux USA, en Australie, en Ouganda et en Guinée.
En 1989, il réalise sur le continent antarctique son premier long métrage cinéma, Au Sud du Sud, dédié à la traversée de l'Antarctique par Jean-Louis Étienne.
En 1990, Djembefola, son premier film africain l'amène en Guinée Conakry, un pays qui va fortement l’attirer au point d’y réaliser par la suite L’Enfant noir (1995 - adapté du roman de Camara Laye, et sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes), Circus Baobab (2000), Hadja Moï (2005), Momo le doyen (2006), Expérience Africaine (2008), La Trace de Kandia (2014).
Entre ses films guinéens, il consacre une place de choix au Maroc (La Vie sans Brahim en 2001, La Pépinière du désert en 2008).
Plusieurs de ses œuvres ont été sélectionnées et primées dans les festivals internationaux.
Originaire de la région de Grenoble, Laurent Chevallier est un skieur et un montagnard expérimenté. Il intervient également comme formateur occasionnel en prise de vue et réalisation documentaire à La Fémis (France), au Master 2 Réalisation documentaire de création à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal) et à l’institut Imagine à Ouagadougou (Burkina Faso).
Source : film-documentaire.fr
Djembefola
Direction artistique / Conception : Pierre Marcault, Laurent Chevallier
Autres collaborations : Réalisation : Laurent Chevallier
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Rhéa Films Productions ; Arcanal
Durée : 67'
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