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Stâbetanz - Danses du Bahaus d'Oskar Schlemmer

Danses des bâtons

Biennale de la danse 1984 - Réalisateur-rice : Picq, Charles

Chorégraphe(s) : Schlemmer, Oskar (Germany) Mc Call, Debra (United States)

Présentée dans la/les collection(s) : Biennale de la danse , Biennale de la danse - 1984

Producteur vidéo : Biennale de la danse

Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon

en fr

Stâbetanz - Danses du Bahaus d'Oskar Schlemmer

Danses des bâtons

Biennale de la danse 1984 - Réalisateur-rice : Picq, Charles

Chorégraphe(s) : Schlemmer, Oskar (Germany) Mc Call, Debra (United States)

Présentée dans la/les collection(s) : Biennale de la danse , Biennale de la danse - 1984

Producteur vidéo : Biennale de la danse

Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon

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Stäbetanz

(Danse des bâtons)

De 1926 à 1929, le Bauhaus de Dessau présente les œuvres à caractère expérimental qu’Oskar Schlemmer conçoit en collaboration avec les jeunes artistes venus étudier dans cette école. Au sortir de la Première Guerre mondiale, les avant-gardes européennes sont alors travaillées par les utopies de « l’homme nouveau », bientôt systématiquement mises à mal par la montée des fascismes et du  nazisme européens. Entre ces deux évènements désastreux, Oskar Schlemmer est alors de ceux qui s’interrogent sans relâche sur les  apories, les contradictions, mais aussi les potentialités dont le nom d’art condense la promesse. Inventeur infatigable, il est constamment en dialogue et en débat avec l’art de son temps. Conjointement à ses enseignements, à ses écrits et à ses recherches dans les domaines du dessin, de la peinture et de la sculpture, ses travaux destinés à la scène situent au cœur de son projet les relations du corps et du geste dans leurs rapports à l’espace et au temps de l’histoire. Sa Stäbetanz, activation temporelle d’une sculpture constructiviste, scande l’invention de l’abstraction chorégraphique. 

(source : programme du CND)

Schlemmer, Oskar

Oskar Schlemmer (Stuttgart, le 4 septembre 1888  - Baden-Baden le 13 avril 1943) est un peintre, sculpteur, homme de  théâtre et chorégraphe allemand. Il fut l'un des créateurs les plus innovants du Bauhaus. Il imagina une "mathématique de la danse". L'une de ses oeuvres les plus connues est le "Ballet triadique".

Mc Call, Debra

Chorégraphe et analyste du mouvement. Commence la danse dès l'âge de 5 ans. Elle réalise des chorégraphies pour le cinéma, l'opéra, la vidéo, le Boston City Dance Theater et en extérieur plusieurs spectacles de solos. 

En 1980, elle commence ses recherches sur le travail d'Oskar Schlemmer et du Bauhaus. Elle se rend en Allemagne, à Stuttgart, où se trouvent les archives Schlemmer, pour étudier les croquis et les notes originales sur ses danses, puis à Berlin pour consulter les archives du Bauhaus. 

Lauréate en 1981 du Choreographer's Fellowship remis par le National Endowment for the Arts, elle peut ainsi poursuivre son travail de reconstruction des danses d'Oskar Schlemmer et ses recherches sur la relation géométrique entre le vêtement (pris dans un sens culturel), le mouvement et l'architecture. Elle enseigne au Pratt Institute à la New York University, à l'Adelphi University et au Dance Notation Bureau. 


Source : Biennale de la danse

Picq, Charles

Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise  d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le  groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.

Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse  contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges". 

Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :

   • Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
  •  Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
  •  Il initie les "présentations de saisons" en image.
  •  Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.

   •  Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web,  il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
 

Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
  Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
 

Source : Maison de la Danse de Lyon

Stäbetanz (Oskar Schlemmer's Bauhaus dances)

Chorégraphie : Oskar Schlemmer, reconstruction Debra Mc Call

Assistance à la chorégraphie : Andreas Weininger

Musique originale : Craig Gordon

Lumières : Jeffrey Mc Roberts

Costumes : Lori Abramson - Suellen Epstein

Autres collaborations : Paul Lessard (accesoires), Elliot Schnartz (masques)

Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Biennale de la danse - Charles Picq, 1984

Oskar Schlemmer et le Bauhaus

Du Bauhaus, école d'art et d'architecture installée à Weimar 1919-1925 puis à Dessau 1925-1932, une très belle rétrospective au Musée d'Art Moderne de la ville de Paris en 1969 permettait de saisir toute l'importance. Par l'enseignement novateur qui y fut pratiqué et par le rayonnement d'un courant de pensée qui prônait "l'homme nouveau" et "l'unité entre tous les arts", son influence sur les idées artistique du XXème siècle devait être déterminante tant en matière d'architecture et de design, qu'en matière d'art abstrait. C'est là qu'Oskar Schlemmer allait mettre au point une danse abstraite "mathématique" qu'il opposait à la "coquetterie pure et doucereuse" du vieux ballet classique et au "caca héroïque" de "l'extase" expressionniste. 

Deux films présentés lors de cette rétrospective révélaient l'un, le Ballet Triadique créé en 1922, l'autre L'homme et la figure artistique reconstitué par Albert Flocon-Mentzel (professeur aux beaux-arts de Paris, ancien élève de Schlemmer) en 1960, à partir des danses créées par Oskar Schlemmer à Dessau qui font d'ailleurs l'objet du spectacle de Debra Mc Call. Quant au Ballet Triadique, le centre Pompidou nous proposait en octobre 1978 une intéressante reconstruction due à Gehrard Bohner, dans le cadre de l'exposition Paris-Berlin. 


W A L T E R  G R O P I U S


Lorsqu'en 1919, Walter Gropius, architecte berlinois connu pour ses architectures de verre et d'acier, est chargé de la direction d'une école d'architecture à Weimar (ancien duché de Saxe), république libérale, social-démocrate. Les idées de la révolution bolchévique soufflent sur les intellectuels allemands qui cherchent "les voies d'un art prolétarien" ou tout au moins "d'un art pour tous, un art universel". 


L E S  P L A S T I C I E N S 


Parce que la peinture, dominante en ce début de siècle, "avait créé une esthétique nouvelle qui fournissait les principes de l’architecture de l'avenir"(1), Gropius confie l'enseignement du Bauhaus (littéralement maison du bâtir) à des plasticiens : Itten (1919-1933), Klee (1920-1931), Kandinsky (1922-1933), inventeur de la peinture abstraite, Schlemmer (1920-1929), sculpteur et peintre passionné de recherche théâtre-danse, Moholy-Nagy (1923-1928), Albers (1923-1933), tous deux peintres constructivistes. Les études comprennent un cours préliminaire d'un an portant sur les matériaux, l'espace, la couleur, la composition, etc. et des ateliers de spécialisation 'architecture, peinture, sculpture, théâtre, photographie, ameublement, poterie, etc.) débouchant sur des applications pratiques : "fabriquer organiquement des objets, préconisait Gropius, se limiter à ds formes et des couleurs élémentaires", créer des prototypes pour des objets de la vie quotidienne (2). En bref l'idée, imprégnée de "pensée philanthropique bourgeoise, était d'améliorer la qualité de vie des masses et de produire des objets "gestaltés" , solides, fonctionnels, bon marché et beaux (3). Idée que Gropius considérait comme une "nécessité d'ordre social". 


L' A B S T R A C T I O N  G E O M E T R I Q U E 


Appelé au Bauhaus comme "maître des formes de l'atelier de sculpture en 1919, Schlemmer devait prendre la direction de l'atelier de théâtre en 1922, succédant en cela à Schreyer dont le départ, ainsi que celui d'Itten en 1923, font passer le Bauhaus et l'expressionnisme à l'abstraction géométrique. Partageant en bien des points les idées de Kandinsky, Gropius et Schlemmer optaient pour les formes simples (carré, cercle, triangle), les couleurs primaires (jaune, rouge bleu) déjà exposées par Kandinsky dans Le Spirituel dans l'art en 1910. Trilogie géométrique qui faisait écrire à Schlemmer à propos du Ballet Triadique : "le nombre trois est une figure importante : avec lui, on dépasse le moi monomane et la contradiction de la dualité, on arrive au collectif" (4). S'il croyait en la danse comme "germe t point zéro" de toute renaissance théâtrale, c'est de la mécanique du corps et de la simplicité qu'il la faisait partir : "Pour ma part, je professe la mécanique du corps. Je vois dans la simplicité une force où toute novation déterminante trouve ses racines. Entendue comme l'élémentaire, comme la tabula rasa, elle devrait assurer le chemin de l'avenir" (05). Parce qu'il la considère l'art de la scène comme un art de l'espace, la forme comme élément de l'espace, la couleur et la lumière comme éléments de la forme, "il faut, dit-il, imaginer des spectacles où ne se produit que le mouvement de formes, de couleurs et de lumières" (6)... et prendre la forme humaine "en tant qu’élément scénique en la métamorphosant par le masque, le costume et l'accessoire" (7). Et Schlemmer, curieusement, indique déjà dans une lettre à Otto Meyer en 1925ce qui sera la base de la chorégraphie abstraite des années 60 : "Pousser plus loin la géométrie de la danse et l'expérimenter sur des tapis marqués de différentes lignes géométriques, chacun des espaces étant numérotés et son numéro clamé durant la danse. Même chose pour la musique, la couleur, l'espace, etc.". Comparant justement la danse à la musique, Schlemmer précisait quelques années plus tard : "Comme la musique de J.-S. Bach qu'il faut appeler abstraite parce qu'elle est "dis-jointe", de tous les éléments d'illusion de nature, parce qu'elle se développe à partir des seuls moyens de chaque instrument et qu'elle est soumise à la mathématique et au contrepoint, parce qu'elle est aussi soutenue, bien sûr, par la grandeur d'une idée, ainsi la danse abstraite doit signifier une création née d'elle-même qui se suffit à elle-même". (08)


L' E X I L 


Contesté par une nouvelle génération d'étudiants, Schlemmer quitte Dessau en 1929. En 1932, le Bauhaus, chassé par la municipalité, se réfugie à Berlin où, très vite, il sera fermé par les nazis (1933). Kandinsky s'installe en France, Klee en Suisse, Gropius, Van der Rohe, Moholy Nagy et Albers aux États-Unis, propageant un peu partout les idées du Bauhaus. Citons dès 1933 les cours d'Albers et Schawinsky à Black Mountain College (Caroline du Nord) et en 1937 le New Bauhaus de Chicago, institut de design. De toute évidence, la danse abstraite américaine (Merce Cunningham, Alvin Nikolaïs, Lucinda Childs, Trisha Brown, etc.) trouvait là ses racines, même si, parfois, elle n'en avait pas conscience. 

Source : Lise Brunel, pour le catalogue de la Biennale de la danse 1984


  

(1) in Catalogue Bauhaus Paris/1969 p. 9.

(2) id. p. 20.

(3) « Théâtre au Bauhaus », Eric Michaud, L’âge d’homme, p. 12.

(4) Théâtre d’abstraction, Oskar Schlemmer, L’âge d’homme, p. 133.

(5) id. p. 40.

(6) id. p. 47.

(7) id. p. 63.

(8) id. p. 71.

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