Aller au contenu principal
Retour à la recherche
  • Ajouter à la playlist

La Minute du spectateur (2022) : Thierry Malandain

Maison de la danse 2022 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien

Chorégraphe(s) : Malandain, Thierry (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , La minute du spectateur

Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon

en fr

La Minute du spectateur (2022) : Thierry Malandain

Maison de la danse 2022 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien

Chorégraphe(s) : Malandain, Thierry (France)

Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , La minute du spectateur

Producteur vidéo : Maison de la Danse de Lyon

en fr

La Minute du Spectateur

La Minute du Spectateur, un rendez-vous vidéo à visionner avant chaque spectacle pour découvrir en deux minutes un chorégraphe, sa compagnie, son vocabulaire, son œuvre.

Une collection présentée par Dominique Hervieu, produite par la Maison de la Danse de Lyon et réalisée par Fabien Plasson.
 

© Maison de la Danse de Lyon

Malandain, Thierry

Thierry Malandain, né le 13 avril 1959 à  Petit-Quevilly, a suivi le parcours naturel du danseur classique, mais  avec un goût marqué pour les marges et une ténacité hors du commun.  Ainsi, plutôt que de suivre les grandes formations reconnues, il passe  par l’enseignement de Jacques Chaurand, Monique Le Dily, René Bon,  Daniel Franck, Gilbert Mayer et Raymond Franchetti : tous éminents et  passionnants enseignants à la personnalité aussi forte que pittoresque…  Violette Verdy qui préside le concours de Lausanne où il se présente en  1978, l’engage à l’Opéra de Paris pour la saison 1977-1978. Il y  rencontre Jean Sarelli, alors « Le » maître de ballet, et le suit  lorsque ce dernier prend la direction du Ballet du Rhin. Thierry  Malandain reste à Mulhouse jusqu’en 1980, puis rejoint le Ballet Théâtre  Français de Nancy que dirige Hélène Traïline et Jean-Albert Cartier.  Cela jusqu’en 1986. C’est au cours de ces six années lorraines qu’il  fait, avec succès, ses premières expériences de chorégraphe : en 1984,  il obtient le 1er Prix du concours Volinine avec Quatuor op3, musique de Guillaume Lekeu, puis après Maguy Marin, en 1985 et 1986, le 1er  Prix du concours de Nyon en Suisse avec Sonatine, musique de Karlheinz  Stockhausen et Métamorphosis, musique de Benjamin Britten. On notera  déjà le choix très exigeant de la musique et l’ambition de ses  propositions.

En 1986, Thierry Malandain  fait un pari. Il quitte le Ballet Théâtre Français de Nancy avec huit  danseurs et fonde la compagnie Temps Présent qui s’installe à Elancourt  (78), en banlieue parisienne. C’est délibérément choisir les marges et  s’assurer d’un travail de titan. Dès la saison suivante, il est lauréat  de la Fondation de la Vocation, de la Fondation Oulmont et reçoit le 1er Prix du concours chorégraphique de La Baule, le 1er  Prix du concours chorégraphique de Vaison-la-Romaine, et à Paris avec  Angelin Preljocaj et Claude Brumachon, le Prix de la Nuit des Jeunes  Créateurs… Des pièces comme l’Homme aux semelles de vent (1986) sur une  musique de Benjamin Britten, devenue Les Illuminations (1989) pour le danseur Patrick Dupond et le Ballet National de Nancy, ou Edgar Allan Poe (1988) qui s’appuie sur des partitions de Claude Debussy et André Caplet et surtout Folksongs (1986)  sur une musique de Benjamin Britten – repris par plusieurs compagnies –  dont le Ballet de Tours de Jean-Christophe Maillot – contribuent à le  faire reconnaître comme un jeune talent prometteur. Alors qu’en pleine  année de la danse (1988) on ne parle que des aventures de la Jeune Danse  Française, Thierry Malandain est ce chorégraphe qui, comme ses  collègues, travaille au développement de la danse en banlieue mais en  revendiquant son attachement au vocabulaire classique. Il chorégraphie  même des ballets pour les troupes des maisons d’opéra comme Danses qu’on croise  (1987), sur une musique de Johannès Brahms pour le Ballet de l’Opéra de  Nantes. Ce singulier positionnement déconcerte le milieu chorégraphique  français mais n’entrave pas l’audience internationale. Au contraire, on  commence à parler, en Belgique en particulier, du Français qui crée la  même année (1990) Les Sylphides, sur une musique de Frédéric Chopin pour le Ballet royal de Wallonie et Petite Lune (musique de Dmitri Chostakovitch) pour le Ballet royal de Flandres, une performance…

En 1991, Thierry Malandain monte Pulcinella d’Igor  Stravinski sur la scène de ce qui est encore la Maison de la Culture de  Saint-Etienne. Le directeur, Jean-Louis Pichon est en train de guider  l’institution vers son nouveau rôle d’Opéra-Théâtre (il deviendra  L’Esplanade en 1994). Il sait qu’il a besoin d’un chorégraphe sensible à  la musique et capable de proposer une activité forte sur le terrain. Il  propose à la compagnie Temps Présent de l’accueillir en résidence à  Saint-Etienne. C’est le début d’une aventure de six ans qui verra le  chorégraphe créer plusieurs de ses ballets les plus repérés : La Fleur de pierre (1994) de Serge Prokofiev, l’Après midi d’un faune (1995) de Claude Debussy, Ballet mécanique (1996) de Georges Antheil, Sextet (1996) de Steve Reich, Casse Noisette  (1997) de Piotr Ilitch Tchaïkovski… et engager une très originale  démarche : recréer les ballets du compositeur stéphanois Jules Massenet.


C’est alors en 1997 que le  chorégraphe reçoit une proposition : le Ministère de la Culture et de  la Communication et la ville de Biarritz lui offrent de fonder dans la  station balnéaire basque le premier Centre Chorégraphique Contemporain  de style classique. L’affaire se déroule assez rapidement au point que  dès septembre 1998, le Centre Chorégraphique National – Ballet Biarritz  voit le jour et s’installe dans la Gare du Midi, vaste édifice déserté  par les trains et qui domine de ses deux hautes tours carrées la douceur  des jardins biarrots. L’activité de la compagnie n’en diminue pas. A partir de 1999, toujours soutenue par Jean-Louis Pichon, commence l’intégrale Massenet, avec Le Cid, Le Carillon et Cigale. En 2000, La Chambre d’Amour, création musicale de Peio Çabalette évoque une belle légende locale comme hommage au nouvel ancrage du chorégraphe. En 2001, c’est un fameux programme d’Hommage aux Ballets russes plein de verve et d’irrévérence qui attendrit.

En 2003, avec Les Créatures,  musique de Ludwig van Beethoven, Ballet Biarritz franchit une étape  créative importante. La pièce, forte, graphique, ambitieuse, dégage un  sentiment de maturité et d’aisance qui lui assure une reconnaissance  importante. Pour la première fois, grâce à Dominique Hervieu et José  Montalvo, la troupe se produit officiellement à Paris (Théâtre national  de Chaillot), tandis qu’à Moscou, Les Créatures sont nominées aux Benois de la Danse et recoivent à Cuba, le Prix de la Critique du XIXème festival International de Ballet de La Havane.

 

En 2004, Le Sang des Etoiles  conforte ce succès. C’est à partir de ce moment que le CCN devient l’un  de ceux assurant le plus grand nombre de représentations annuelles  accompagné d’une forte présence internationale. L’institution monte  aussi en puissance. En 2000, sa capacité à susciter l’accord amène  presque naturellement Thierry Malandain à la tête du Temps d’Aimer,  festival qu’organise la ville. La même année, il fonde à Donostia-San  Sebastián un junior ballet transfrontalier avec la collectivité basque  espagnole. Pendant quatre ans, tout cela est mené de front.

En 2005, souhaitant se  concentrer sur son travail, le chorégraphe abandonne la direction  artistique du festival le Temps d’Aimer. Il enchaîne alors deux pièces  sur l’esprit du ballet préromantique, Les Petits Riens (2005) de Wolfgang Amadeus Mozart et Don Juan (2006) sur la partition de Christoph Willibald Gluck tandis que sur une musique d’Alfred Schnittke, il honore avec L’Envol d’Icare  (2006), nominé à Moscou aux Benois de la Danse, sa première commande  pour le Ballet de l’Opéra national de Paris. Nombreuses des 80 œuvres de  Thierry Malandain sont d’ailleurs au répertoire d’autres grandes  compagnies, de Caracas à Hong Kong, en passant par West Palm Beach,  Aspen, le Caire, Riga, Tunis, Karlsruhe ou encore au Sadamatsu Hamada  Ballet, au Teatro di San Carlo de Naples, au Staatsoper, au Volksoper de  Vienne. En France, au Ballet de l’Opéra national du Rhin, au Ballet  national de Marseille, au Ballet de l’Opéra national de Bordeaux, au  Ballet du Capitole de Toulouse, etc.

2008, c’est l’année de L’Amour sorcier de Manuel de Falla et à l’écoute de Diego Vélasquez, Le Portrait de l’infante,  musique de Maurice Ravel avec sur scène trois Ménines du peintre et  sculpteur espagnol, Manolo Valdès. Mais il faut croire qu’il est  impossible de s’éloigner du travail de terrain. Fin 2008, après avoir  fêté les dix ans de présence dans la ville, à la demande de Didier  Borotra, maire de Biarritz, le chorégraphe reprend la direction du  festival le Temps d’Aimer. Ce qui ne l’empêche pas de remonter en  décembre une nouvelle production de Carmen (1996), musique de Franz Schubert, l’œuvre qui décida de sa nomination à la tête du CCN Ballet Biarritz.


En août 2009, Thierry  Malandain est élevé au grade d’officier des Arts et Lettres. C’est avec  une nouvelle appellation « Malandain Ballet Biarritz » que débute pour  le chorégraphe une nouvelle ère. S’ensuivent la création de Magifique (2009), musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski et du Roméo et Juliette (2010) d’Hector Berlioz, deux ballets qui rencontrent les faveurs du public et de la critique. Avec Lucifer (2011),  Thierry Malandain, pour la seconde fois de sa carrière collabore avec  un compositeur, Guillaume Connesson. La partition est créée par  l’Orchestre de Pau Pays de Béarn dirigé par son chef Fayçal Karoui,  également directeur musical du New York City Ballet. En 2012, pour fêter  les dix ans d’une riche collaboration, l’Opéra de Reims passe commande  d’un ballet auprès de Thierry Malandain. Ayant carte blanche, le  chorégraphe en profite pour explorer un autre univers musical en réglant  Une Dernière chanson sur des chants traditionnels français interprétés par Le Poème Harmonique  de Vincent Dumestre. Cette oeuvre est récompensée par le Grand Prix –  catégorie danse – du Syndicat de la Critique Théâtre, Musique et Danse  en 2012.

En 2013, alors que le  Malandain Ballet Biarritz dépasse désormais les cent représentations  annuelles, à la demande de Laurent Brunner, directeur de l’Opéra royal  de Versailles, le chorégraphe créé Cendrillon sur la partition  de Serge Prokofiev. Outre le merveilleux écrin de l’Opéra royal du  Château de Versailles, sous la direction de Josep Caballé-Domenech, les  représentations bénéficieront du concours de l’Orquesta Sinfónica de  Euskadi originaire de Donostia-San Sebastián. Triomphe d’humanité, Cendrillon fait  l’unanimité de la presse et du public et en 2014, Thierry Malandain  reçoit à Berlin le Prix du meilleur chorégraphe aux Taglioni European  Ballet Awards décerné par la fondation Malakhov.

En 2017, après ses représentations parisiennes de sa création Noé à  Chaillot-Théâtre national de la Danse, le Malandain Ballet Biarritz  reçoit le prix de la « meilleure compagnie » décerné par l’Association  professionnelle de la critique de théâtre, de musique et de danse.

En 2018, Thierry Malandain est nommé aux Benois de la danse pour ce même ballet. En 2019, il crée Marie-Antoinette pour l’Opéra royal du Château de Versailles avec l’Orchestre symphonique d’Euskadi. Cette même année, Thierry Malandain est élu à l’Académie des beaux-arts au fauteuil numéro 1 de la section chorégraphie nouvellement créée, aux côtés de Blanca Li, Angelin Prejlocaj et Carolyn Carlson. 

En 2020, dans le cadre du 250ème anniversaire de Beethoven, Thierry Malandain crée La Pastorale  à Chaillot-Théâtre National de la Danse puis au Theater Bonn  (Allemagne) et se voit décerner le prix de la Société des auteurs et  compositeurs dramatiques (SACD), section chorégraphie. 

En 2021, dans son souhait  de soutenir la jeunesse et l’émergence, Thierry Malandain partage  l’affiche avec Martin Harriague, artiste associé au CCN Malandain Ballet  Biarritz autour d’une soirée Stravinski. Ils créent respectivement L’Oiseau de feu et le Sacre du printemps à la Scène nationale Le Cratère d’Alès puis à Chaillot-Théâtre national de la Danse à Paris.

En 2023, sur une idée de Laurent Brunner, directeur de Château de Versailles Spectacles et de Stefan Plewniak, violoniste et 1er chef d’orchestre de l’Opéra royal de Versailles, Thierry Malandain crée Les Saisons sur des musiques d’Antonio Vivaldi et Giovanni Antonio Guido. La première a eu lieu le 25 novembre 2023 au Palais des Festivals de Cannes – Festival de Danse Cannes – Côte d’Azur France puis à l’Opéra Royal de Versailles avec l’Orchestre Royal de Versailles dirigé par Stefan Plewniak. 


Source : Site du Malandain Ballet

En savoir plus : http://malandainballet.com/

Plasson, Fabien

Fabien Plasson est réalisateur, principalement dans le domaine du spectacle vivant (danse, musique, etc.).

C’est au cours de sa formation à l’École Nationale Supérieur des Beaux-Arts de Lyon qu’il intègre en 1995 que Fabien découvre l’art vidéo. Il se forme alors auprès de divers artistes vidéastes (Joël Bartoloméo, Pascal Nottoli, Eric Duyckaerts, etc).
Son approche s’inscrit d’abord dans une recherche plastique avec la création d’installations et d’objets filmiques.

En 2001, il rejoint l’équipe de la Maison de la Danse de Lyon et s’occupe durant 10 ans de la programmation du Vidéo-Bar Ginger&Fred. Il découvre alors l’univers chorégraphique et les enjeux de la vidéo pour la diffusion et la transmission de la danse aux côtés de Charles Picq alors vidéaste et directeur du service vidéo de la Maison de la Danse.

En parallèle, il continue son activité de création plastique, réalise des vidéos de concerts, de pièces de théâtre et crée également des décors vidéos pour le spectacle vivant.

Aujourd’hui, Fabien Plasson est réalisateur vidéo au Pôle Image de la Maison de la Danse de Lyon et pour Numeridanse.tv, vidéothèque internationale de danse en ligne.


Source : Maison de la Danse, Fabien Plasson

Malandain Ballet Biarritz

Avec plus de quatre-vingts oeuvres à son actif, Thierry Malandain développe une idée toute personnelle de la danse.  Profondément liée au concept de « Ballet » qui tient lieu ici de référence à un courant esthétique, elle donne la priorité au corps dansant, à la célébration de sa sensualité et de son humanité.

L’Homme et la Danse sont au cœur et au corps du Malandain Ballet Biarritz.

A la tête d’une troupe constituée d’interprètes maîtrisant la grammaire de la danse classique, mais dont l’expression est actuelle, la démarche de Thierry Malandain est sous-tendue par de profondes valeurs humaines. Sa recherche du sens et de l’esthétique guide aussi un style intemporel à la fois musclé, énergique et sobre, qui puise sa richesse dans les racines de la danse et dans une vision dynamique de cet art.

 

« Ma culture, ma génétique  est celle de la danse classique et sans complexe, j’y demeure attaché. Car si je reconnais  volontiers que certains de ses codes artistiques et sociaux sont d’un autre temps, comme l’ADN présent dans toutes les cellules vivantes, transmis de génération en génération, il renferme des informations nécessaires au fonctionnement et au développement de la compagnie qui me tient lieu d’organisme. L'information portée par l'ADN peut se modifier au fil du temps. Cela aboutit à la diversité des espèces, à l’évolution. C’est pourquoi ma danse est le support de variations. Classique pour les uns, contemporain pour les autres, héréditairement néoclassique, je suis tout simplement  en recherche d’une danse que j’aime. Une danse qui ne laisserait pas seulement la trace du plaisir, mais qui renouerait avec l’essence du sacré comme une réponse à la difficulté d’être. »

Au fil de ses créations qui peuvent être graves tout autant qu’ impertinentes, Thierry Malandain s’attache donc à développer une écriture en quête d’une harmonie entre classique et contemporain, l’histoire et le monde d’aujourd’hui. Ainsi, entre ses visions originales de titres comme  Roméo et Juliette, Cendrillon,  Casse Noisette ou l’Après-midi d’un faune, il alterne de pures créations telles que Magifique, Une Dernière chanson, Estro ou encore Lucifer sur une partition inédite du compositeur Guillaume Connesson.  

Thierry Malandain est également un artiste ouvert à ses contemporains. En témoignent les nombreux chorégraphes porteurs d’esthétiques les plus diverses soutenus par le Centre Chorégraphique National dans le cadre de l’Accueil Studio, ou bien à l’affiche du festival Le Temps d’Aimer, dont il assure à Biarritz la direction artistique.

Nos suggestions de videos
01:46

Grand Finale

Shechter, Hofesh (United Kingdom)

  • Ajouter à la playlist
01:16

The art of Ohad Naharin

Naharin, Ohad (Israel)

  • Ajouter à la playlist
02:56

Ligne de crête

Marin, Maguy (France)

  • Ajouter à la playlist
02:58

Another look at memory

Lebrun, Thomas (France)

  • Ajouter à la playlist
03:01

Peekaboo

Goecke, Marco (France)

  • Ajouter à la playlist
57:18

Cribles. Légende chorégraphique pour 1000 danseurs.

Huynh, Emmanuelle (France)

  • Ajouter à la playlist
46:49

Cribles/live

Huynh, Emmanuelle (France)

  • Ajouter à la playlist
30:33

Leïla "la nuit"

Lagraa, Abou (France)

  • Ajouter à la playlist
12:23

Finale du Concours de Jeunes Chorégraphes - 1ère édition

Malandain, Thierry (France)

  • Ajouter à la playlist
11:26

Passages

  • Ajouter à la playlist
11:58

Carte blanche de Talia de Vries (2010)

  • Ajouter à la playlist
01:30:03

Fragments

Bouvier, Joëlle (France)

  • Ajouter à la playlist
01:02:20

Fureurs

Bouvier, Joëlle (France)

  • Ajouter à la playlist
01:33:50

L'Effraction du silence

Bouvier, Joëlle (France)

  • Ajouter à la playlist
02:45

Suite pour deux pianos

Scholz, Uwe (France)

  • Ajouter à la playlist
01:38:49

Still waters

Carlson, Carolyn (France)

  • Ajouter à la playlist
04:55

Slow, heavy and blue

Carlson, Carolyn (France)

  • Ajouter à la playlist
04:46

Still waters

Carlson, Carolyn (France)

  • Ajouter à la playlist
02:57

BROTHER

Da Silva Ferreira, Marco (France)

  • Ajouter à la playlist
03:00

Vertikal

Merzouki, Mourad (France)

  • Ajouter à la playlist
Nos suggestions de themas

Les racines de la diversité en danse contemporaine

Exposition virtuelle

fr/en/

(LA)HORDE : RÉSISTER ENSEMBLE

Exposition virtuelle

fr/en/

CHRISTIAN & FRANÇOIS BEN AÏM ET L'ÉLAN VITAL - échappées chorégraphiques salvatrices

Exposition virtuelle

fr/en/

Les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis

Exposition virtuelle

fr/en/

Latitudes contemporaines

Exposition virtuelle

fr/en/

40 ans de rock et danse

Exposition virtuelle

fr/en/

[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps

Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.

Parcours

fr/en/

les ballets C de la B et l'esthétique du réel

Exposition virtuelle

fr/en/

Quand le réel s'invite

Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?  

Parcours

fr/en/

Folklores dites-vous ?

 Présentation de la manière dont les chorégraphes contemporains revisitent le Folklore.

Parcours

fr/en/

La danse au Québec : identités multiples

Deuxième volet du parcours consacré à la danse au Québec, celui-ci est centré sur la notion de collectif, d’être-ensemble.

Parcours

fr/en/

La Maison de la Danse de Lyon

Exposition virtuelle

fr/en/

Pantomimes

Présentation de la pantomime dans les différents courants de la danse.

Parcours

fr/en/

Danse et musique

Le rapport entre musique et création chorégraphique se décline différemment selon les courants, selon les siècles.

Parcours

fr/en/

Pourquoi je danse ?

Danses sociales ou contestataires, rythmes ou identités, rituels ou plaisirs...Les raisons de danser sont multiples, autant que les points de vue. Un webdoc pour parcourir, extraits d’œuvre et témoignages d’amateurs à l’appui, toutes les bonnes raisons de danser !

Webdoc

fr/en/

Käfig, portrait d'une compagnie

À l’occasion des 20 ans de la compagnie Käfig, Mourad Merzouki revient sur l'évolution singulière du mouvement hip-hop en France, du succès populaire à la conquête de la scène, et sur les spectacles qui ont marqué l'histoire de Käfig.

Webdoc

fr/en/

Genèse des oeuvres

Un spectacle de danse se crée en plusieurs étapes qui se situent entre le moment où s’énonce un désir initial qui lance le projet, et celui de la première représentation.

Parcours

fr/en/

La danse contemporaine italienne : les années deux mille

Panorama des pratiques de danse contemporaine en Italie dans les années 2000.

Parcours

fr/en/

Le Ballet de la Nuit

Exposition virtuelle

fr/en/

Danse dehors

La scène d’un théâtre et le studio ne sont pas les seuls lieux de travail ou de représentation d’une pièce chorégraphique. Parfois, les danseurs et les chorégraphes dansent à l’extérieur.

Parcours

fr/en/
En naviguant sur ce site, vous reconnaissez et acceptez l'usage de cookies pour faciliter votre navigation.
Vous pouvez bloquez ces cookies en modifiant vos paramètres de sécurités de votre navigateur ou en cliquant surce lien.
J'accepte En savoir plus