Dans l'engrenage
2017 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien
Chorégraphe(s) : Marchiche, Souhail (France) Meghari, Medhi (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse
Dans l'engrenage
2017 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien
Chorégraphe(s) : Marchiche, Souhail (France) Meghari, Medhi (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse
Dans l'engrenage
Trouver une place, aussi fragile soit-elle. Se battre. Pour y arriver. Se battre pour la garder. Au-delà des rouages. Au-delà des conventions. Au-delà de l’intérêt commun. Au-delà des libertés individuelles.
Jouer des règles pour se maintenir. Quitte à transgresser. Quitte à porter préjudice. Quitte à ce que ceux qui le subissent se soulèvent. Eux, ils croient en un meilleur. Eux s’engagent. Envers et contre tous. Contre tout.
À bout de bras. Ils se battent. À bout de force, ils construisent. Autre chose. Autrement. Ils fondent le nouveau. Pour eux. Pour exister. Pris dans l’engrenage, ils se confondent. Se fondent dans la masse. À nouveau. Pour combien de temps ?
Source : Cie Dyptik
En savoir plus : www.dyptik.com
Marchiche, Souhail
Né au Maroc en 1983, il aborde la danse hip-hop dans sa version urbaine, avant de passer aux planches des théâtres comme danseur interprète pour des compagnies qui vont nourrir son univers artistique (Génération hip-hop / Cie kafig, Magic Dancing / Karine Saporta, Bodies in Urban Spaces / Willi Dorner…). En 2007, il prend avec son complice Mehdi Meghari la co-direction artistique du collectif Melting Force (Saint-Étienne), chorégraphie et danse les pièces Révélation, U-NIL et De la rue à la scène. Avec En quête (2011), ils formalisent leur indépendance en créant leur propre compagnie, Dyptik, qui révèle toute sa maturité dans leur première création éponyme Dyptik avec la compagnie malienne Dogmen G (2014). Il a également écrit et dirigé à Saint-Étienne les défilés LaTriparasundari (2010), L’imaginarium d’orpheus (2012) et Va, vis et danse (2014) de la Biennale de la Danse de Lyon. À la fois chorégraphe et pédagogue, il intègre pleinement la transmission à sa démarche artistique, des publics variés pour lesquels il bâtit des modes d’intervention chorégraphique aussi divers que le sont ses danseurs.
Meghari, Medhi
Plasson, Fabien
Fabien Plasson est réalisateur, principalement dans le domaine du spectacle vivant (danse, musique, etc.).
C’est au cours de sa formation à l’École Nationale Supérieur des Beaux-Arts de Lyon qu’il intègre en 1995 que Fabien découvre l’art vidéo. Il se forme alors auprès de divers artistes vidéastes (Joël Bartoloméo, Pascal Nottoli, Eric Duyckaerts, etc).
Son approche s’inscrit d’abord dans une recherche plastique avec la création d’installations et d’objets filmiques.
En 2001, il rejoint l’équipe de la Maison de la Danse de Lyon et s’occupe durant 10 ans de la programmation du Vidéo-Bar Ginger&Fred. Il découvre alors l’univers chorégraphique et les enjeux de la vidéo pour la diffusion et la transmission de la danse aux côtés de Charles Picq alors vidéaste et directeur du service vidéo de la Maison de la Danse.
En parallèle, il continue son activité de création plastique, réalise des vidéos de concerts, de pièces de théâtre et crée également des décors vidéos pour le spectacle vivant.
Aujourd’hui, Fabien Plasson est réalisateur vidéo au Pôle Image de la Maison de la Danse de Lyon et pour Numeridanse.tv, vidéothèque internationale de danse en ligne.
Source : Maison de la Danse, Fabien Plasson
Dyptik
Désinvolte. Détachée du consensus. La compagnie Dyptik danse.
Elle danse l’identité. Elle danse la révolte. Avec force. Et authenticité.
Engagée dans son rapport à l’autre. Aux autres et au corps. La compagnie Dyptik explore l’Homme. Son histoire. Portant son regard sur l’intime. Le profond.
Qu’elle créée, qu’elle transmette, qu’elle accompagne, qu’elle accueille ou qu’elle réunisse… La compagnie Dyptik va chercher chez chacun le plus viscéral. Le plus puissant. Parfois jusqu’à l’épuisement.
Fondée en 2012 par les chorégraphes Souhail Marchiche et Mehdi Meghari, la compagnie stéphanoise Dyptik est conventionnée par la ville de Saint-Étienne, soutenue par la DRAC, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et le Département de la Loire.
Dès 2012, la compagnie Dyptik explore le thème de l’identité, au travers de deux pièces chorégraphiques : En quête (2012) et Dyptik (2014).
Elle investigue ensuite le champ de la révolte avec D-Construction (2016), Dans l’engrenage (2017) et Le Cri (2018).
Au-delà de son travail créatif, la compagnie Dyptik développe à l’année de nombreuses actions culturelles autour de ses créations, et est à l’origine du festival TRAX, créé en 2014.
Attachée aux valeurs de partage, de rencontre et d’échange, la compagnie Dyptik ouvre également ses studios stéphanois aux artistes et au public, pour en faire un véritable lieu de de résidence artistique et de représentation.
La Compagnie est artiste associé avec la Maison de la Danse de Lyon pour la saison 2017/2018 dans le cadre du Pôle européen de création, et avec le Théâtre de Cusset pour la période 2017-2020.
Source : Compagnie Dyptik
En savoir plus : www.dyptik.com
La compagnie Dyptik
Les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis
Amala Dianor : danser pour donner à voir
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Folklores dites-vous ?
Présentation de la manière dont les chorégraphes contemporains revisitent le Folklore.
La Maison de la Danse de Lyon
Danses de mains
Ce parcours présente différents extraits vidéo où les mains sont au cœur du mouvement.
LES CENTRES CHORÉGRAPHIQUES NATIONAUX
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Une scène artistique hip hop en France
Le ballet poussé à bout
L'évolution du ballet, de sa forme romantique au néo-classique.
[1970-2018] Développements néoclassiques : diffusion mondiale, répertoires multiples et dialogues avec la danse contemporaine
Avec les années 1970, l’élan des artistes vers un nouveau classique a plus d’un demi-siècle et ainsi plusieurs générations se sont déjà déployées depuis les Ballets Russes. Au fil des décennies, chacun a défendu ou défend la danse classique sous le signe de la nouveauté, de la singularité, de la connexion avec les autres arts et avec les préoccupations de son temps.