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Just to dance...

Avec Just to dance... Héla Fattoumi et Eric Lamoureux tentent ce geste improbable: mettre en danse l'expérience du «vivre ensemble». Alors qu'en France s'est pensé dernièrement un débat qui tentait d'entériner la notion d'identité comme figée et exclusive, les deux chorégraphes ont réuni trois danseurs de la République du Congo (Princia Jéarbuth Biyéla, Aucarré Ikoli N'Kazi, Orchy Nzaba), les danseurs japonais Kei Tsujimoto, Alissa Shiraishi et Tetsuro Hattori - fruits de rencontres faites de leurs pérégrinations chorégraphiques hors Occident - et trois interprètes du CCNC/BN (Marine Chesnais, Philippe Rouaire et Moustapha Ziane) pour une symphonie sur l'altérité.

Just to dance... titre ludique de cette nouvelle création, révèle sur le plateau un paysage né de l'écriture en flux de corps en mouvements empreints et altérés par les personnalités haute en couleur des conviés. Etincelant d'échanges, d'énergies et de relations, l'assemblage sensible de ces singularités opéré par Héla Fattoumi et Eric Lamoureux organise une cosmogonie aux centres mouvants ; autant de pépites qui éclatent, débordent et s'augmentent. La musique du multi instrumentiset Camel Zekri et de la soprane Dominque Chevaucher se déploie entre traditions et improvisations. Teintée d'électro, elle bruisse et court dans ce vaste champ d'extensions corporelles où une mondialité future s'esquisse. Niant les possibles frontières (langues, pays, cultures...), les différents imaginaires irrigués par les onze interprètes se fondent en une expérience scénique d'où surgit une intense humanité. Avec ce groupe riche en diversités, Just to dance... tente de faire tomber les murs et réussit, pour reprendre les propos d'Edouard Glissant, « à penser l'autre, à se penser avec l'autre, à penser l'autre en soi ».

Mise à jour : avril 2012

Lamoureux, Éric

Héla Fattoumi et Éric Lamoureux fondent la Compagnie FATTOUMI/LAMOUREUX en 1988.  Leur première pièce Husaïs est couronnée du prix de la 1ère œuvre au concours international de Bagnolet en 1990, suivie du trio Après-midi  prix Nouveaux Talents Danse de la SACD en 1991. Ces deux œuvres les  propulsent parmi les leaders d’une nouvelle génération de la création  contemporaine et leur apportent une reconnaissance internationale.
 

Un espace de recherche dont la source est l’entremêlement de leurs particularités.  De pièce en pièce, ils sondent inlassablement l’intelligence sensible du  corps, son pouvoir de dévoilement du sens qui est aussi pensée (penser)  en mouvement.  Durant cette première période plusieurs pièces marquantes voient le jour dans la continuité d’Husaïs : Si loin que l’on aille (Théâtre de la Bastille et Théâtre de la Ville, 1992) ; Fiesta (Commande du Festival d’Avignon, 1992) ; Asile Poétique (Théâtre de la Ville, 2000) à partir des textes du poète Antonio Ramos Rosa ; Wasla, Ce qui relie…  (Biennale de Lyon, 1998) ; Vita Nova (Grande Halle de la Villette,  2000) avec la 11ème promotion du Centre National des Arts du Cirque.  Ces pièces affirment un travail chorégraphique relié aux notions de  maîtrise/non maîtrise, de puissance/fragile, de minimalisme/performatif,  faisant surgir une danse dont la charge expressive est traversée par  une « énergie graphique ».
 

Nommés à la direction du CCN de Caen/Basse-Normandie en 2004,  ils poursuivent alors leur démarche à travers des pièces plus portées  sur des sujets à forte tonalité sociétale.  Ce seront La Madâ’a (Arsenal de Metz, 2004) avec les frères Joubran, virtuoses palestiniens du oud ; Pièze (Unité de pression) et La danse de Pièze  (Festival Dialogue de corps, Ouagadougou, 2006 et Théâtre de la  Bastille), autour de la notion d’ « homosensualité » dans le monde  arabo-musulman ; Just to dance… (Espace des Arts de Chalon-sur-Saône, 2010), pièce autour de la notion de « créolisation » développée par Édouard Glissant ; MANTA,  solo créé au Festival Montpellier Danse 2009 puis en tournée  internationale (Tokyo, Séoul, Berlin, Tunis, Bruxelles, Stockholm,  Oslo), à partir de la problématique que soulève le port du niqab ; Lost in burqa,  (Festival danse d’ailleurs, 2011) performance pour 8 interprètes  réalisée à partir des « vêtements-sculptures » de la plasticienne  marocaine Majida Khattari ; Masculines (Arsenal de Metz, 2013) sur les représentations du féminin de part et d’autre de la Méditerranée.
 

Ils réactivent une recherche chorégraphique se ressourçant au potentiel expressif et poétique de la danse.  Une douce imprudence co-signée avec Thierry Thieû Niang (Festival  Ardanthé 2013, Théâtre National de Chaillot, 2014) sur la notion du «  Care » ; Waves commande pour le NorrlandsOperan et son  Orchestre symphonique dans le cadre de Umeå 2014, capitale européenne de  la Culture pour laquelle ils s’associent avec le chanteur et  compositeur suédois Peter von Poehl.
 

Ils s’aventurent régulièrement hors des théâtres pour réagir in-situ à d’autres contextes de réactivité.  En février 2009, ils signent la performance Stèles dans le cadre d’une « Nocturne » exceptionnelle, commande du Musée du Louvre.  En 2008 il créent Promenade au Grand Palais et imaginent un dialogue avec les sculptures monumentales de Richard Serra.  En janvier 2012 ils créent Circle invitant le public au centre  d’un dispositif circulaire où la danse s’enivre à l’énergie mêlée de 26  danseurs professionnels et amateurs.  En 2013, dans le cadre du Festival Normandie Impressionniste, ils  investissent l’exposition « Un été au bord de l’eau » du Musée des  Beaux-Arts de Caen pour une Flânerie chorégraphique.
 

Création du Festival Danse d’Ailleurs (2005)  Dès 2005, ils initient le Festival Danse d’Ailleurs qui a vocation à  remettre en perspective la notion d’universalisme en questionnant les  cadres référents de la modernité en art selon les horizons culturels.  Les quatre premières éditions ont fait focus sur des artistes issus du  vaste et divers continent africain et ont valu à ce jeune festival un  rayonnement international grandissant, les éditions suivantes ont ouvert  le spectre jusqu’en Asie en lien avec le Festival Hot Summer in Kyoto  au Japon.
 

Héla Fattoumi et Éric Lamoureux sont fortement engagés dans  différentes instances à la promotion et à la défense de l’art  chorégraphique.  De 2001 à 2004, Héla Fattoumi est vice-présidente Danse de la SACD  (Société des Auteurs Compositeurs Dramatiques). Elle est à ce titre  chargée de la programmation du « Vif du sujet » au Festival d’Avignon.  De 2006 à 2008, elle préside l’ACCN (Association des Centres  Chorégraphiques Nationaux). Présidence reprise de 2010 à 2013 par Éric  Lamoureux, qui assure depuis la vice-présidence.  Depuis septembre 2013 Héla Fattoumi est présidente déléguée à la prospective au SYNDEAC.
 

Ils sont nommés à la direction du Centre chorégraphique National de Franche Comté à Belfort en mars 2015. Dès leur nomination à la direction du CCNFCB ils rebaptisent l’institution VIADANSE, dans la perspective d’impulser une nouvelle dynamique et de faciliter l’appropriation par le public du projet et de l’institution.


Ils enrichissent leur répertoire grâce à la création de plusieurs spectacles dont
OSCYL en lien avec les arts plastiques, traversé par la notion d’altérité qui constitue un fil conducteur dans le parcours des deux créateurs. Ils s’aventurent ainsi à la croisée des disciplines dans une tentative de décloisonnement entre la danse, les arts plastiques, le théâtre d’objets, le théâtre de marionnettes.
Création en Septembre 2017 pour l’ouverture du Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes de Charleville Mézières. Avant-première au Festival International de Roverreto (Italie) puis le Théâtre National de Chaillot

BNETT WASLA relié au désir de poursuivre la transmission d’un répertoire aux jeunes génération. les deux chorégraphes réinventent une partition pour quatre femmes, danseuses du jeune Ballet National Tunisien. Ainsi ils s’engagent dans une véritable expérience intergénérationnelle et transculturelle, puisant dans l’intime et le singulier vers le collectif, traversé des enjeux liés à l’émancipation de la femme.
Création pour l’ouverture de la cité de la Culture de Tunis.

SWING Museum, spectacle jeune et tout public. SWING Museum propose un voyage imaginaire, à la croisée de la danse, de l’art dadaïste, des marionnettes et de l’imagerie vidéo. Ce conte féerique au décor mouvant s’appuie sur une trame narrative, l’aventure surprenante d’un gardien de musée qui fait un rêve éveillé
Création en février 2018 au festival À pas contés CDCN Dijon, soutenue par le Festival international MOMIX de Kingersheim.

• AKZAK, l’impatience d’une jeunesse reliée, autour du rapport danse/musique. Guidés par le double élan « aller vers et accueillir », les deux chorégraphes embarquent 12 danseurs venus d’Afrique et d’Europe vers une pièce chorégraphique chorale, en dialogue avec une composition musicale originale de et par le percussionniste virtuose Xavier Desandre Navarre. Création les 25 et 26 septembre 2020 aux Zébrures d’Automne, Les Francophonies, Des écritures à la scène, Limoges.


En lien avec les musiques actuelles :
SYMPATHETIC MAGIC avec le chanteur pop Peter von Poehl (collaboration entamée avec WAVES)
• L’évènement MOUVEMENTS Interstices chorégraphiques à l’occasion des 30 ans du festival les Eurockéennes. Une collection de 19 films courts, réunissant de nombreux chorégraphes et danseurs représentatifs de la richesse et de la diversité du champ chorégraphique et offrant ainsi à la danse un espace de visibilité hors norme. coproduction : Ministère de la Culture, Territoire de Musique, Arte Concert, VIADANSE, Sequence.


Ils créent trois autres formes en lien avec les musées et/ou l’espace public :
OSCYL Variation
• SUPERPOSE et BETWEEN.
Ces différents formats et leur diversité ont offert l’opportunité d’aller à la rencontre du public en faisant varier les contextes de réceptivité. Ils ont également permis de démultiplier les possibilités de diffusion

Ils créent trois spectacles avec les amateurs de toutes générations
CIRCLE, PULSE, JONCTION. Ils ont été de formidables activateurs de lien via l’engagement dans des expériences humaines et artistiques.


Ils initient TERRITOIRES DANSÉS EN COMMUN - un projet d’éducation artistique et culturelle à l’échelle transfrontalière
Soucieux de développer un réseau actif de personnes ressources dans le domaine de l’éducation artistique et culturelle à l’échelle du territoire transfrontalier, afin de multiplier les possibilités d’intervention artistique en milieu scolaire au-delà même des frontières nationales, VIADANSE, avec le soutien du Fonds de Coopération Belfort – Canton du Jura, de la DRAC Bourgogne Franche-Comté, du Rectorat de l’Académie de Besançon et du Département de l’enseignement de la République et Canton du Jura, met en place un ambitieux programme de formation de personnes ressources de part et d’autre de la frontière (Territoire de Belfort, Pays de Montbéliard, Canton du Jura et Jura bernois en Suisse).

Le dépôt d’un dossier de financement dans le cadre du dispositif Interreg France-Suisse, validé le 7 décembre 2018, permet à ce projet une ambition et une pérennité pour les trois prochaines années, jusqu’en décembre 2021.

Fattoumi, Héla

Héla Fattoumi et Éric Lamoureux fondent la Compagnie FATTOUMI/LAMOUREUX en 1988.  Leur première pièce Husaïs est couronnée du prix de la 1ère œuvre au concours international de Bagnolet en 1990, suivie du trio Après-midi  prix Nouveaux Talents Danse de la SACD en 1991. Ces deux œuvres les  propulsent parmi les leaders d’une nouvelle génération de la création  contemporaine et leur apportent une reconnaissance internationale.  

Un espace de recherche dont la source est l’entremêlement de leurs particularités.  De pièce en pièce, ils sondent inlassablement l’intelligence sensible du  corps, son pouvoir de dévoilement du sens qui est aussi pensée (penser)  en mouvement.  Durant cette première période plusieurs pièces marquantes voient le jour dans la continuité d’Husaïs : Si loin que l’on aille (Théâtre de la Bastille et Théâtre de la Ville, 1992) ; Fiesta (Commande du Festival d’Avignon, 1992) ; Asile Poétique (Théâtre de la Ville, 2000) à partir des textes du poète Antonio Ramos Rosa ; Wasla, Ce qui relie…  (Biennale de Lyon, 1998) ; Vita Nova (Grande Halle de la Villette,  2000) avec la 11ème promotion du Centre National des Arts du Cirque.  Ces pièces affirment un travail chorégraphique relié aux notions de  maîtrise/non maîtrise, de puissance/fragile, de minimalisme/performatif,  faisant surgir une danse dont la charge expressive est traversée par  une « énergie graphique ».  

Nommés à la direction du CCN de Caen/Basse-Normandie en 2004,  ils poursuivent alors leur démarche à travers des pièces plus portées  sur des sujets à forte tonalité sociétale.  Ce seront La Madâ’a (Arsenal de Metz, 2004) avec les frères Joubran, virtuoses palestiniens du oud ; Pièze (Unité de pression) et La danse de Pièze  (Festival Dialogue de corps, Ouagadougou, 2006 et Théâtre de la  Bastille), autour de la notion d’ « homosensualité » dans le monde  arabo-musulman ; Just to dance… (Espace des Arts de Chalon-sur-Saône, 2010), pièce autour de la notion de « créolisation » développée par Édouard Glissant ; MANTA,  solo créé au Festival Montpellier Danse 2009 puis en tournée  internationale (Tokyo, Séoul, Berlin, Tunis, Bruxelles, Stockholm,  Oslo), à partir de la problématique que soulève le port du niqab ; Lost in burqa,  (Festival danse d’ailleurs, 2011) performance pour 8 interprètes  réalisée à partir des « vêtements-sculptures » de la plasticienne  marocaine Majida Khattari ; Masculines (Arsenal de Metz, 2013) sur les représentations du féminin de part et d’autre de la Méditerranée.  

Ils réactivent une recherche chorégraphique se ressourçant au potentiel expressif et poétique de la danse.  Une douce imprudence co-signée avec Thierry Thieû Niang (Festival  Ardanthé 2013, Théâtre National de Chaillot, 2014) sur la notion du «  Care » ; Waves commande pour le NorrlandsOperan et son  Orchestre symphonique dans le cadre de Umeå 2014, capitale européenne de  la Culture pour laquelle ils s’associent avec le chanteur et  compositeur suédois Peter von Poehl.  

Ils s’aventurent régulièrement hors des théâtres pour réagir in-situ à d’autres contextes de réactivité.  En février 2009, ils signent la performance Stèles dans le cadre d’une « Nocturne » exceptionnelle, commande du Musée du Louvre.  En 2008 il créent Promenade au Grand Palais et imaginent un dialogue avec les sculptures monumentales de Richard Serra.  En janvier 2012 ils créent Circle invitant le public au centre  d’un dispositif circulaire où la danse s’enivre à l’énergie mêlée de 26  danseurs professionnels et amateurs.  En 2013, dans le cadre du Festival Normandie Impressionniste, ils  investissent l’exposition « Un été au bord de l’eau » du Musée des  Beaux-Arts de Caen pour une Flânerie chorégraphique.  

Création du Festival Danse d’Ailleurs (2005)  Dès 2005, ils initient le Festival Danse d’Ailleurs qui a vocation à  remettre en perspective la notion d’universalisme en questionnant les  cadres référents de la modernité en art selon les horizons culturels.  Les quatre premières éditions ont fait focus sur des artistes issus du  vaste et divers continent africain et ont valu à ce jeune festival un  rayonnement international grandissant, les éditions suivantes ont ouvert  le spectre jusqu’en Asie en lien avec le Festival Hot Summer in Kyoto  au Japon.  

Héla Fattoumi et Éric Lamoureux sont fortement engagés dans  différentes instances à la promotion et à la défense de l’art  chorégraphique.  De 2001 à 2004, Héla Fattoumi est vice-présidente Danse de la SACD  (Société des Auteurs Compositeurs Dramatiques). Elle est à ce titre  chargée de la programmation du « Vif du sujet » au Festival d’Avignon.  De 2006 à 2008, elle préside l’ACCN (Association des Centres  Chorégraphiques Nationaux). Présidence reprise de 2010 à 2013 par Éric  Lamoureux, qui assure depuis la vice-présidence.  Depuis septembre 2013 Héla Fattoumi est présidente déléguée à la prospective au SYNDEAC.  


Ils sont nommés à la direction du Centre chorégraphique National de Franche Comté à Belfort en mars 2015. Dès leur nomination à la direction du CCNFCB ils rebaptisent l’institution VIADANSE, dans la perspective d’impulser une nouvelle dynamique et de faciliter l’appropriation par le public du projet et de l’institution.


Ils enrichissent leur répertoire grâce à la création de plusieurs spectacles dont
OSCYL en lien avec les arts plastiques, traversé par la notion d’altérité qui constitue un fil conducteur dans le parcours des deux créateurs. Ils s’aventurent ainsi à la croisée des disciplines dans une tentative de décloisonnement entre la danse, les arts plastiques, le théâtre d’objets, le théâtre de marionnettes.
Création en Septembre 2017 pour l’ouverture du Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes de Charleville Mézières. Avant-première au Festival International de Roverreto (Italie) puis le Théâtre National de Chaillot

BNETT WASLA relié au désir de poursuivre la transmission d’un répertoire aux jeunes génération. les deux chorégraphes réinventent une partition pour quatre femmes, danseuses du jeune Ballet National Tunisien. Ainsi ils s’engagent dans une véritable expérience intergénérationnelle et transculturelle, puisant dans l’intime et le singulier vers le collectif, traversé des enjeux liés à l’émancipation de la femme.
Création pour l’ouverture de la cité de la Culture de Tunis.

SWING Museum, spectacle jeune et tout public. SWING Museum propose un voyage imaginaire, à la croisée de la danse, de l’art dadaïste, des marionnettes et de l’imagerie vidéo. Ce conte féerique au décor mouvant s’appuie sur une trame narrative, l’aventure surprenante d’un gardien de musée qui fait un rêve éveillé
Création en février 2018 au festival À pas contés CDCN Dijon, soutenue par le Festival international MOMIX de Kingersheim.

• AKZAK, l’impatience d’une jeunesse reliée, autour du rapport danse/musique. Guidés par le double élan « aller vers et accueillir », les deux chorégraphes embarquent 12 danseurs venus d’Afrique et d’Europe vers une pièce chorégraphique chorale, en dialogue avec une composition musicale originale de et par le percussionniste virtuose Xavier Desandre Navarre. Création les 25 et 26 septembre 2020 aux Zébrures d’Automne, Les Francophonies, Des écritures à la scène, Limoges.


En lien avec les musiques actuelles :
SYMPATHETIC MAGIC avec le chanteur pop Peter von Poehl (collaboration entamée avec WAVES)
• L’évènement MOUVEMENTS Interstices chorégraphiques à l’occasion des 30 ans du festival les Eurockéennes. Une collection de 19 films courts, réunissant de nombreux chorégraphes et danseurs représentatifs de la richesse et de la diversité du champ chorégraphique et offrant ainsi à la danse un espace de visibilité hors norme. coproduction : Ministère de la Culture, Territoire de Musique, Arte Concert, VIADANSE, Sequence.


Ils créent trois autres formes en lien avec les musées et/ou l’espace public :
OSCYL Variation
• SUPERPOSE et BETWEEN.
Ces différents formats et leur diversité ont offert l’opportunité d’aller à la rencontre du public en faisant varier les contextes de réceptivité. Ils ont également permis de démultiplier les possibilités de diffusion

Ils créent trois spectacles avec les amateurs de toutes générations
CIRCLE, PULSE, JONCTION. Ils ont été de formidables activateurs de lien via l’engagement dans des expériences humaines et artistiques.


Ils initient TERRITOIRES DANSÉS EN COMMUN - un projet d’éducation artistique et culturelle à l’échelle transfrontalière
Soucieux de développer un réseau actif de personnes ressources dans le domaine de l’éducation artistique et culturelle à l’échelle du territoire transfrontalier, afin de multiplier les possibilités d’intervention artistique en milieu scolaire au-delà même des frontières nationales, VIADANSE, avec le soutien du Fonds de Coopération Belfort – Canton du Jura, de la DRAC Bourgogne Franche-Comté, du Rectorat de l’Académie de Besançon et du Département de l’enseignement de la République et Canton du Jura, met en place un ambitieux programme de formation de personnes ressources de part et d’autre de la frontière (Territoire de Belfort, Pays de Montbéliard, Canton du Jura et Jura bernois en Suisse).

Le dépôt d’un dossier de financement dans le cadre du dispositif Interreg France-Suisse, validé le 7 décembre 2018, permet à ce projet une ambition et une pérennité pour les trois prochaines années, jusqu’en décembre 2021.

Silvestre, Benjamin

Diplômé de l'Ecole Nationale des Arts Décoratifs, Benjamin Silvestre travaille en tant que réalisateur.Dans ses films, il s'intéresse à l'approche du corps, de sa gestuelle et de son expression comme langage et mode de narration.Il réalise plusieurs films où le corps prend le pas sur la parole, notamment des films de danse: ANIMAL REGARD, ENTRE TEMPS, LA MADÂ'A, primés en festivals et diffusés à la télévision (Arte, Mezzo, France Ô) et QUATUOR, film réalisé autour du Quatuor Diotima, sur une musique de françois NARBONI.Il participe également à la création PIEZE-Unité de Pression (Cie Fattoumi-Lamoureux/Woudi-Tat), pièce chorégraphique interactive pour deux danseurs, dispositif sonore et vidéo projetée. (Théâtre de la Bastille, Paris et tournée dans toute la France).Depuis 2003, il réalise également de nombreuses captations pour des compagnies de danse contemporaine (Cie Fattoumi-Lamoureux, Ex Nihilo, CFB 451, Sophie Bocquet, Radhouane El Meddeb...) et une série de portraits de chorégraphes, TRACES, Paroles d'auteurs.Il conçoit et réalise des films et installations dans le cadre de projets muséographiques, tels que La Forteresse Royale de Chinon (4 fictions historiques diffusées en projection), Musée de la résistance et de la déportation / LIMOGES (Installation vidéo en diptyque sur la propagande de Vichy).Son travail met l'accent sur le rapport aux corps dans les espaces, privilégiant un travail sonore approfondi.Il termine actuellement l'écriture d'une fiction, en cours de financement et l'écriture d'un documentaire.www.benjaminsilvestre.comdernière mise à jour : avril 2013

Dans ses films, il s'intéresse à l'approche du corps, de sa gestuelle et de son expression comme langage et mode de narration.

Il réalise plusieurs films où le corps prend le pas sur la parole, notamment des films de danse: ANIMAL REGARD, ENTRE TEMPS, LA MADÂ'A, primés en festivals et diffusés à la télévision (Arte, Mezzo, France Ô) et QUATUOR, film réalisé autour du Quatuor Diotima, sur une musique de françois NARBONI.

Il participe également à la création PIEZE-Unité de Pression (Cie Fattoumi-Lamoureux/Woudi-Tat), pièce chorégraphique interactive pour deux danseurs, dispositif sonore et vidéo projetée. (Théâtre de la Bastille, Paris et tournée dans toute la France).

Depuis 2003, il réalise également de nombreuses captations pour des compagnies de danse contemporaine (Cie Fattoumi-Lamoureux, Ex Nihilo, CFB 451, Sophie Bocquet, Radhouane El Meddeb...) et une série de portraits de chorégraphes, TRACES, Paroles d'auteurs.

Il conçoit et réalise des films et installations dans le cadre de projets muséographiques, tels que La Forteresse Royale de Chinon (4 fictions historiques diffusées en projection), Musée de la résistance et de la déportation / LIMOGES (Installation vidéo en diptyque sur la propagande de Vichy).

Son travail met l'accent sur le rapport aux corps dans les espaces, privilégiant un travail sonore approfondi.

Il termine actuellement l'écriture d'une fiction, en cours de financement et l'écriture d'un documentaire.


En savoir plus : www.benjaminsilvestre.com

Just to dance...

Direction artistique / Conception : Héla Fattoumi / Eric Lamoureux

Chorégraphie : Chorégraphie en collaboration avec les interprètes

Interprétation : Princia Jéarbuth Biyéla/Ghyslaine Gau, Marine Chesnais, Tetsuro Hattori, Aucarré Ikoli N'Kazi, Orchy Nzaba, Philippe Rouaire, Alissa Shiraishi, Kei Tsujimoto, Moustapha Ziane

Scénographie : Stéphane Pauvret

Musique originale : Composition / interprétation musicale Camel Zekri (guitare, Biomuse, programmation) Dominique Chevaucher (chant, theremin)

Lumières : Xavier Lazarini

Costumes : Elise Magne

Décors : Construction décors Jackie Baux

Son : Régie son Philippe Petit

Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Production CCNC/BN Coproduction Espace des Arts - Scène nationale de Chalon-sur-Saône, Grand Théâtre - Ville de Lorient, théâtre de Caen, Le Trident - Scène nationale de Cherbourg-Octeville - La création musicale de ce spectacle a fait l'objet d'une Commande d'Etat - Avec le soutien de l'Organisation Internationale de la Francophonie dernière mise à jour : avril 2012

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