Roméo et Juliette
2011 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Bouvier, Joëlle (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , 24images - Scènes d'écran , Saisons 2010 > 2019
Producteur vidéo : 24 images
Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon
Roméo et Juliette
2011 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Bouvier, Joëlle (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la danse , 24images - Scènes d'écran , Saisons 2010 > 2019
Producteur vidéo : 24 images
Vidéo intégrale disponible à la Maison de la danse de Lyon
Romeo et Juliette
Une chorégraphie de Joëlle Bouvier
Inteprétation Ballet du Grand Théâtre de Genève
Pour "Roméo et Juliette" chorégraphié sur des extraits de trois suites pour orchestre de Serge Prokofiev, Joëlle Bouvier entend revenir à l'université de la fable, évacuant une époque précise ou des costumes trop connotés, axant ses recherches sur le cœur du drame.
Cette création est une rencontre avec les danseurs du Ballet du Grand Théâtre de Genève. « Ensemble, nous avons glissé nos corps dans la douceur ou la fureur de cette musique, nous nous sommes laissés inspirer par son rythme, sa saveur et sa poésie pour écrire les gestes, les portés, les élans, les brisures qui vont dire, raconter l'aventure passionnée des deux amants » (Joëlle Bouvier )
Source : 24 images
Générique
Une chorégraphie de Joëlle Bouvier
Interprétation Ballet du Grand Théâtre de Genève
Réalisateur Charles Picq
Production 24 Images
Mise à jour : septembre 2011
Bouvier, Joëlle
Depuis la création de leur compagnie l’Esquisse en 1980, Joëlle Bouvier a co-signé avec Régis Obadia 15 œuvres chorégraphiques diffusées dans le monde entier et co-réalisé 4 court-métrages, primés dans de nombreux festivals (FIPA d’Argent - Sélection officielle au festival de Cannes 1989...) et réalisé plusieurs clips vidéo dont Casser la Voix, de Patrick Bruel (Victoires de la Musique 1990 et Starclip 1990).
Elle a été co-directrice du CCN du Havre de 1986 à 1992, et du CNDC d’Angers de 1993 à 2003.
En 1993, elle réalise seule Le Pressentiment, court-métrage qui obtient le Grand Prix du Festival de Grenoble et le Prix de la Recherche du Festival de Montecatini.
En 1998, elle s’engage dans une démarche de création indépendante. De nombreuses pièces ont vu le jour depuis.
En 1999, elle crée Où en est la nuit, pièce pour 11 danseurs de l’École supérieure du CNDC l’Esquisse, puis Fureurs, au Festival Montpellier Danse en juin 1999 et le solo, Dépêche-toi ! au Festival de Danse de Marseille en juillet 1999.
En novembre 2000, Joëlle Bouvier réalise pour le jeune public L’Oiseau Loup à Sartrouville, qui a été présenté plus de 100 fois, en France et à l’étranger. En septembre 2002, avec 8 danseurs, elle crée De l’Amour, coproduit par la Scène Nationale Les Gémeaux / Sceaux, comme toutes ses créations depuis cette date.
Invitée par Françoise Letellier, directrice de la Scène Nationale Les Gémeaux , Joëlle Bouvier est en résidence de création à Sceaux depuis janvier 2004. Elle crée Le voyage d’Orphée en mars 2004, puis son solo Face à Face en mai 2006, coproduit par le Théâtre de la Ville, Paris.
En octobre 2003, elle est invitée par Didier Deschamps, directeur du CCN - Ballet de Lorraine, pour réaliser Jeanne d’Arc, création pour 10 danseurs qui connaît un grand succès, puis en 2006 La Divine Comédie, pièce pour les 29 danseurs du ballet sur le thème de l’Enfer de Dante.
2004, elle crée la Cie Joëlle Bouvier et s’installe en résidence de création à la Scène Nationale des Gémeaux, à Sceaux de 2004 à 2008.
Elle crée Le voyage d’Orphée en mars 2004.
Puis un solo Face à Face en mai 2006, coproduit par le Théâtre de la Ville, Paris.
En octobre 2003, elle est invitée par Didier Deschamps, alors directeur du CCN - Ballet de Lorraine, pour réaliser Jeanne d’Arc, création pour 10 danseurs, puis en 2006 La Divine Comédie, pièce pour les 29 danseurs du ballet sur le thème de l’Enfer de Dante.
2009 création de Dolls pour 5 danseurs Hip Hop, au festival Suresne Cité Danse, puis Roméo et Juliette, première collaboration avec le Ballet du Grand Théâtre de Genève.
2011 crétion de What about love, pour la Korea National Contemporary Dance Company de Séoul.
2012 Création de Avà o Homen que caminha, pour la Cia Sociedade Masculina de Sao Paolo, au Brésil.
2015 elle retrouve le ballet du Grand Théâtre de Genève pour la création de Tristan & Isolde - Salue pour moi le monde, sur la musique de Richard Wagner
Ce spectacle a remporté le GRAND PRIX de la critique 2016.
En 2016, elle reprend Jeanne d’Arc pour le Ballett Theater Basel.
2017 création d’un spectacle événement pour l’inauguration du 1er musée Camille Claudel, à Paris.
En 2018, Joëlle Bouvier crée ODISSEIA pour la Sao Paulo dance company.
Elle collabore à la création de VxH - La voix humaine, de Cocteau, spectacle de Roland Auzet, avec Irène Jacob.
Parallèlement à son activité de création, Joëlle Bouvier est invitée à réaliser des projets événementiels comme l’animation des vitrines du Grand Magasin Le Printemps à Paris en mars 2002, et en juin 2007. En août 2006, elle réalise une performance pour le lancement d’un nouveau produit cosmétique chinois, qui s’est déroulée au Palais des Congrès à Paris, puis en Chine.
Elle a été la chorégraphe des Bacchantes, créé en février 2005 à la Comédie Française dans une mise en scène d’André Wilms.
Joëlle Bouvier a reçu le GRAND PRIX de la Danse SACD, une victoire de la musique pour la réalisation du clip vidéo Casser la voix de P Bruel, elle est officier des Arts et Lettres et en 2016, elle reçoit le GRAND PRIX de la critique pour Tristan & Isolde-Salue pour moi le monde.
Source : Marseille objectif danse
Picq, Charles
Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.
Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges".
Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :
• Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
• Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
• Il initie les "présentations de saisons" en image.
• Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.
• Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web, il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
Source : Maison de la Danse de Lyon
Roméo et Juliette
Chorégraphie : Joëlle Bouvier
Interprétation : Madeline Wong, Damiano Artale, Loris bonani, Nathanaël Marie, Fernanda barbosa, Hélène bourbeillon, Gabriela Gomez, Virginie Nopper, Yu Otagaki, isabelle Schramm, Sara Shigenari ou Madeline Wong, Sarawanee Tanatanit, Yanni Yin, Daniela Zaghini Joseph Aitken, Damiano Artale ou Armando Gonzalez, Pierre-Antoine brunet, Prince Credell, Grégory Deltenre, Paul Girard, Clément Haenen, André Hamelin
Musique originale : Sergueï Prokofiev
Lumières : Rémi Nicolas
Costumes : Philippe Combeau
Décors : Rémi Nicolas, Jacqueline Bosson
Son : Charles Mugel
Autres collaborations : Directeur du ballet : Philippe Cohen
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Maison de la danse, 2011
Durée : 80'
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
Rencontres avec la littérature
La collaboration entre chorégraphe et écrivain fait apparaître de multiples combinaisons. Parfois, ce n’est plus le chorégraphe qui « met en danse » le texte d’un auteur, c’est l’écrivain qui prend la danse pour sujet ou matière de son texte.
Quand le réel s'invite
Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?
Pantomimes
Présentation de la pantomime dans les différents courants de la danse.
La filiation « américaine » de la danse moderne. [1930-1950] De la Modern Dance expressive à une vision moderne abstraite.
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
Des genres et des styles
La danse est un terme bien vaste qui comprend beaucoup de spécificités. Ils dépendent de la culture d’un pays, d’une époque, d’un lieu. Ce Parcours propose une visite entre les genres et les styles de la danse.
Féminin - Masculin
Promenade entre les différentes conceptions et réceptions des genres dans les différents styles et époques de la danse.
[1970-2018] Développements néoclassiques : diffusion mondiale, répertoires multiples et dialogues avec la danse contemporaine
Avec les années 1970, l’élan des artistes vers un nouveau classique a plus d’un demi-siècle et ainsi plusieurs générations se sont déjà déployées depuis les Ballets Russes. Au fil des décennies, chacun a défendu ou défend la danse classique sous le signe de la nouveauté, de la singularité, de la connexion avec les autres arts et avec les préoccupations de son temps.
La relecture des œuvres
Certains grands spectacles sont revisités à travers les siècles. Voici deux exemples de pièces relues par différents chorégraphes.