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Retrospective : 1987

Numeridanse 2015

Chorégraphe(s) : Lefèvre, Brigitte (France) Caciuleanu, Gigi (Romania) Saporta, Karine (France) Nadj, Josef (Hungary)

Présentée dans la/les collection(s) : Numeridanse , 30 ans danse - Version Française

Producteur vidéo : 24images production

en fr

Retrospective : 1987

Numeridanse 2015

Chorégraphe(s) : Lefèvre, Brigitte (France) Caciuleanu, Gigi (Romania) Saporta, Karine (France) Nadj, Josef (Hungary)

Présentée dans la/les collection(s) : Numeridanse , 30 ans danse - Version Française

Producteur vidéo : 24images production

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Retrospective : 1987

À l'occasion des 30 ans des Centres Chorégraphiques Nationaux, 30 pastilles qui évoquent à travers un montage d’archives l’histoire des CCN, des chorégraphes et de la danse en France ces 30 dernières années ont été créées. 

Focus sur l'année 1987 et les productions du Ballet de Lorraine, de Brigitte Lefèvre, Gigi Caciuleanu, Karine Saporta et Josef Nadj.

Retranscription du texte :


1987 en France, on cohabite. Au ministère de la culture s'ouvre une délégation à la danse confiée à Brigitte Lefèvre. Après avoir quitté l'Opéra de Paris, elle a créé avec Jacques Garnier le théâtre du Silence à la Rochelle, qui devient l'un des premiers centres chorégraphiques nationaux.
Dans les CCN, classique et nouvelle danse française cohabitent. D'une tradition de ballet qui remonte au Roi Soleil les créations néoclassiques perpétuent l'inventivité et nourrissent le répertoire.
D'autres chorégraphes français, dans les CCN ou en dehors se lancent sur des pistes nouvelles, nourries de leur formation classique et de leurs rencontres fécondes avec Béjart, Cunningham et le Butô. La danse d’auteur se décline selon des écritures aussi diverses que les profils de ses inspirateurs.
Gorbatchev inaugure de nouveaux liens avec l'Europe et les États-Unis, mais il est toujours brouillé avec la Chine qui fête l'année du dragon. Dans ce contexte, le Yougoslave Nadj nous sert un Canard Pékinois, une rêverie aigre douce sur un voyage que la géopolitique ne permettra jamais.
Et en France, Dalida tire sa révérence.

Lefèvre, Brigitte

Entrée à 8 ans à l'École de Danse de l'Opéra de Paris, Brigitte  Lefèvre est engagée à 16 ans dans le Corps de ballet. Pendant ses années  à l'Opéra, elle suit l'enseignement de Yvette Chauviré, Gérard Mulys,  Serge Peretti, Yves Brieux, Rita Thalia, Janine Schwarz, Serge Perrault,  Raymond Franchetti et danse les ballets de George Balanchine, Roland  Petit, Maurice Béjart, Michel Descombey, Gene Kelly, sans oublier les  grandes oeuvres classiques.


Très tôt intéressée par les différentes techniques de danse, elle  étudie le jazz avec Gene Robinson et participe à de nombreux stages avec  Alwin Nikolaïs, Merce Cunningham, Paul Taylor.

En 1970, elle crée sa première chorégraphie Mikrocosmos (sur  une musique de Bartok) pour Jacques Garnier, Michaël Denard et  elle-même, ballet présenté au Festival d'Avignon dans la cour d'honneur.  Elle a réalisé plusieurs chorégraphies pour la comédie musicale et le  théâtre - dans des mises en scène de Jean-Michel Ribes, Jean Mercure et  Serge Peyrat - au Théâtre de la Ville. Elle chorégraphie également La  Révolution Française au Palais des Sports et aborde l’interprétation  théâtrale dans le rôle de Lisa des Possédés de Dostoïevski, mise en  scène de Jean Mercure au Théâtre de la Ville.

Elle quitte l'Opéra en 1972 pour fonder avec Jacques Garnier le  Théâtre du Silence, installé à la Rochelle de 1974 à 1985. Ce sera l'une  des premières compagnies de danse "implantées" en France. Outre les  chorégraphies de Jacques Garnier et de Brigitte Lefèvre, des oeuvres de  Maurice Béjart, Merce Cunningham, David Gordon, Robert Kovitch, Lar  Lubovitch, viennent enrichir le répertoire de cette compagnie qui  accomplit de très importantes tournées dans le monde. Très motivée par  la pédagogie, elle enseigne la danse classique et contemporaine au sein  de sa compagnie et dans différents stages.

Engagée en 1985 comme Inspecteur principal de la Danse (Direction de  la Musique et de la Danse) au Ministère de la Culture, elle est nommée  en 1987, Inspecteur général et première « Déléguée à la Danse » en  titre.

En septembre 1992, elle devient Administrateur Général de l'Opéra de  Paris-Garnier, puis en février 1994, Directeur-adjoint chargé de la  danse. Le 1er juillet 1995, elle est nommée Directrice de la Danse de  l'Opéra National de Paris.

Depuis sa nomination, Brigitte Lefèvre s’attache à construire un  répertoire vivant qui puisse se conjuguer au passé, au présent mais  aussi au futur. Tout en accordant une place importante à la tradition et  au maintien des grands ballets classiques – et plus particulièrement  les productions de Rudolf Noureev - elle programme régulièrement à  l’Opéra les chorégraphies qui ont marqué le XXe siècle et invite des  chorégraphes d’aujourd’hui à remonter des ballets ou réaliser de  nouvelles pièces. Ainsi, depuis 1995, plusieurs oeuvres ont fait leur  entrée au répertoire de l’Opéra national de Paris (Le Sacre du printemps  en 1997 et Orphée et Eurydice en 2005 de Pina Bausch , Glacial Decoy de  Trisha Brown en 2003, La Dame aux camélias en 2006 et Troisième  Symphonie de Gustav Mahler en 2009 de John Neumeier...) et de nombreux  chorégraphes ont réalisé des créations pour la compagnie (Maurice  Béjart, Trisha Brown, Mats Ek, William Forsythe, Jirí Kylián, Blanca Li,  Wayne McGregor, Benjamin Millepied, José Montalvo, John Neumeier, Robyn  Orlin, Roland Petit, Angelin Preljocaj, Saburo Teshigawara, Sasha  Waltz…).

Brigitte Lefèvre est Vice-Présidente du Conservatoire national  supérieur de musique et de danse de Paris, membre administrateur du  Centre national de la danse (depuis 1998) et membre du conseil  professionnel de CulturesFrances en qualité d'experte pour la danse.  Administrateur de la société Radio France (de septembre 2004 à septembre  2008), Brigitte Lefèvre a produit et animé, sur France Culture,  l'émission de radio "À quoi pensez-vous ?" (de septembre 2008 à  septembre 2009).

Elle est Officier de l'Ordre National du Mérite, Commandeur des Arts et Lettres et Officier de la Légion d’Honneur.


Source : Medici.tv

Caciuleanu, Gigi

Né  en 1947 en Roumanie, de parents d'origine grecque et russe, Gigi  Caciuleanu commence la danse à l'âge de 4 ans. Cinq ans plus tard, il  intègre l'Ecole nationale supérieure de chorégraphie de Bucarest pour un  cycle de huit ans, au cours duquel il découvre la danse contemporaine  auprès de Miriam Raducanu. Cette figure emblématique de la nouvelle  danse roumaine chargée des cours d'« Art de l'acteur » y initie ses  élèves à une approche alternative de la danse. L'engouement de G.  Caciuleanu alors âgé de 14 ans, pour cette nouvelle approche l'incite à  poursuivre le travail avec M. Raducanu en dehors de l'école, jusqu'à  prendre part activement à ses créations au risque d'être renvoyé. A  l'issue du cycle d'enseignement officiel, il est admis à l'Opéra  national de Bucarest au sein duquel il accède rapidement à des rôles de  solistes après s'être perfectionné au Bolchoï (Moscou). Il y fait la  connaissance de la soliste Ruxandra Racovitza, fidèle collaboratrice à  venir. 

Profitant d'un flottement dans la  discipline du régime qui précèdera le durcissement consécutif au  Printemps de Prague (1968), Gigi Caciuleanu se produit dans des clubs  alternatifs de Bucarest en compagnie de Miriam Raducanu. Ensemble, ils  montent un spectacle intitulé « Nocturnes 9" », qui restera à l'affiche  pendant cinq ans et tournera en Belgique et en Ecosse. C'est dans cette  période d'effervescence « underground » qu'il fait la connaissance de  Dan Mastacan, autre fidèle collaborateur. 

Il  démarre sa carrière de chorégraphe en obtenant en 1970 le premier prix  aux Rencontres chorégraphiques de Varna avec « Mess around », solo qu'il  ne cessera de danser et qui constituera en quelque sorte son « tube ».  Puis il remporte le Concours des jeunes chorégraphes de Cologne deux  années consécutives, en 1971 et 1972, et décide alors de quitter la  Roumanie pour entreprendre une carrière en Europe de l'Ouest. Sur  l'invitation de Pina Bausch – dont il a fait la connaissance comme  membre du jury de l'édition 1972 du concours de Cologne –, il s'associe  au Folkwang Ballet d'Essen (1972-1973) et compose une dizaine de pièces  pour les étudiants de la Folkwang Hochschule. Il s'installe ensuite en  France, où l'asile politique lui est accordé. 

A  Nancy, Gigi Caciuleanu crée le Studio de danse contemporaine en 1973 –  une compagnie de douze interprètes pour un répertoire contemporain – aux  côtés de Rosella Hightower avant de lui succéder à la direction du  Ballet du Grand Théâtre de Nancy l'année suivante au sein duquel il  invitera des chorégraphes comme Dominique Bagouet, Jacques Garnier ou  Maguy Marin. La même année 1974, il remporte le premier prix du Concours  chorégraphique de Bagnolet avec son solo « Joie ». Tout en sillonnant  la France à la tête du Studio de danse contemporaine à l'occasion de  tournées organisées par les Jeunesses musicales de France (JMF), il  prend part à la naissance du festival Danse à Aix aux côtés de R.  Hightower, et se voit confier la direction artistique de la Vème édition  des Rencontres chorégraphiques de l'abbaye des Prémontrés de  Pont-à-Mousson (1979), rencontres qu'il réorganise. 

Nommé  directeur du Centre chorégraphique national de Rennes créé sous le nom  de Théâtre chorégraphique de Rennes en 1978, il est appelé à constituer  une compagnie permanente, fidèle interprète de ses créations à venir – «  Commedia » (1978), « Interférences » (1978), « Cartoons » (1980), « Les  Quatre Saisons » (1981), « Un train peut en cacher un autre » (1982), «  Piazza Italia » (1985), « Quartz » (1985), « Il Trovatore » (1987), «  Saxographie » (1989), « Rue de la Bastille » (1989), « Mozartissimo »  (1991),... – jouées à travers le monde (Asie, Amérique du Nord et du  Sud, Europe). Figure de la déferlante chorégraphique que connaît la  France dans les années 1980, le chorégraphe allie une technique proche  de la virtuosité à une théâtralité et un humour inédits. 

Pédagogue  passionné, Gigi Caciuleanu, parralèlement à son intense activité  artistique, ne cesse d'animer régulièrement des stages – comme les  rendez-vous annuels des Arcs et du Touquet. Il ne renonce pas non plus à  des expériences plus personnelles flirtant avec le théâtre, à l'instar  de celles entreprises avec Maina Gielgud pour « Petipa et crac ! »  (1979), Cherif Khaznadar pour « Machine à sous, porte du ciel » (1979)  ou encore avec Maïa Plissetskaïa pour « La Folle de Chaillot » (1993). 

Remercié  en 1993, il quitte la direction du CCN de Rennes après quinze ans de  présence dans cette ville, cédant la place à Catherine Diverrès et  Bernardo Montet. Il fonde alors sa propre structure siégant à Paris,  subventionnée par le ministère de la Culture, avec laquelle il créera  entre autres « Oskolki, miroirs brisés » (1994), « Ma nuit avec Nijinski  » (1995), « Dans sa fuite Eléonore » (1997), « Adieu Odessa » (1999), «  Verdi requiem » (2001). Pendant cette période, il établit des relations  privilégiées avec des structures qui soutiennent ses créations à  l'image du Théâtre de Colombes. 

Après la chute  du mur de Berlin, G. Caciuleanu fait de nombreux voyages en Roumanie,  sollicité de toutes parts par la scène roumaine. En 2001, il investit  l'écriture théâtrale avec la pièce « Jungle X » dont la mise en scène  est accueillie par un théâtre de marionnettes de la ville de Targu Mures  (Roumanie), un art qu'il considère à l'égal de la danse et du théâtre.  En 2007, il fonde la Gigi Caciuleanu Romanian Dance Company à Bucarest,  qui interprète ses créations « OuiBaDa » et « La Symphonie fanstastique  ». 

Invité à chorégraphier pour d'autres  compagnies, son activité internationale devient progressivement  prépondérante et, en 2001, Gigi Caciuleanu accepte la direction  artistique du Ballet nacional chileno (Banch) pour lequel il créée  notamment « Cuerpos » (2002), « Gente » (2002), « A la Alegria » (2003),  « Carmina Burana » (2004), « Paris-Santiago » (2008), « Carne de Aire »  (2008) ou encore « Oratorio Bach » (2010). 

Parallèlement,  Gigi Caciuleanu publie en 2002 un essai de « choréosophie » intitulé «  VVV : vents, volumes, vecteurs », tout d'abord en espagnol puis en  traduction roumaine (2008) et française (2010), un ouvrage par lequel il  souhaite transmettre ses principes créateurs. 

Distingué  par de nombreux prix et décorations en France comme à l'étranger, Gigi  Caciuleanu a été nommé Chevalier des Arts et Lettres en 1984. Ses  créations sont inscrites au répertoire du Ballet de l'Opéra de Paris, du  Lyon Opéra Ballet, du Tanztheather Wuppertal-Pina Bausch, de La Fenice,  des opéras de Rome et de Cardiff, de la Bat-Dor Company (Israël), et du  Ballet nacional de Chile. 


Source : Centre national de la danse, Claire Delcroix (2013)

Saporta, Karine

Karine Saporta est Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier des Arts et des Lettres.

Elle a fondé l'Association des Centre Chorégraphiques Nationaux dont elle est la première Présidente. Elle a été élue pour la seconde fois, Présidente de la Commission Danse, vice-présidente de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques (SACD) en 2004.

Dés le début, Karine Saporta a su défendre au plus haut niveau des valeurs artistiques qui l'ont fait reconnaître et apprécier par les plus éminents spécialistes comme l'une des grandes figures de l'art contemporain français d'aujourd'hui.

Elle a été accueillie dans tous les grands lieux de la danse, en France et à l'étranger, avec de nombreuses chorégraphies.

À la pointe des recherches sur le corps et le travail de l'émotion chez le danseur, elle a mis à jour des méthodes de travail très personnelles.

L'improvisation, la technique mais aussi la réflexion sur les thèmes et l'histoire de la danse fondent la démarche artistique et intellectuelle de Karine Saporta.

Son art est fait d'univers baroques ou oniriques, qui abritent des figures de chair ou de cire, de vertiges des sens et de cœurs chavirés, d'images picturales flamboyantes.

De l'univers hispanique des "Taureaux de Chimène" aux images gothiques de "La princesse de Milan" ou du spectacle "Le Spectre ou les Manèges du ciel" sans oublier la forme cinématographique de certaines réalisations telles que "Le Bal du siècle" créé au Festival International du Film de Cannes en hommage au centenaire du cinéma ou "Wild" la chorégraphe façonne autant qu'un style propre les nouvelles formes du spectacle vivant.


Pour découvrir le site du Label Karine Saporta et sa biographie, veuillez cliquer ici.

Nadj, Josef

Josef Nadj est né en 1957 à Kanjiza (province de Voïvodine en ex-Yougoslavie, actuelle Serbie).

Dès l'enfance, il dessine, pratique la lutte, l'accordéon, le football et les échecs, et se destine à la peinture.

Entre l'âge de 15 et 18 ans, il fait des études secondaires au lycée des beaux-arts de Novi Sad (capitale de Voïvodine). Puis, pendant quinze mois, son service militaire en Bosnie-Herzégovine.

Après quoi, il part étudier l'histoire de l'art et de la musique, et s'initie à l'expression corporelle et au jeu d'acteur à l'université de Budapest.

En 1980, il part pour Paris afin de poursuivre sa formation auprès de Marcel Marceau et Etienne  Ducroux. En parallèle, il découvre la danse contemporaine alors en pleine expansion en France, suit l'enseignement de Larri Leong (qui mêle danse, kinomichi et aikido) et d'Yves Cassati, prend des cours de tai-chi, de butô ou de danse contact (avec Mark Tompkins), commence à enseigner l'art du geste à partir de 1983 (en France et en Hongrie) et participe, en tant qu'interprète, aux créations de Sidonie Rochon ("Papier froissé", 1984), Mark Tompkins ("Trahison Men", 1985), Catherine Diverrès ("l'Arbitre des élégances", 1988) ou François Verret ("Illusion comique" et "La", commande du GRCOP, 1986).

En 1986, il crée sa compagnie, Théâtre JEL (« jel » signifie « signe » en hongrois) et monte sa première pièce, Canard Pékinois, qu'il présente en 1987 au Théâtre de la Bastille et qui sera accueillie dès la saison suivante au Théâtre de la Ville à Paris.

Il est, à ce jour, l'auteur d'une trentaine de créations et performances.

En 1982, Josef Nadj a complètement arrêté le dessin et la peinture pour se consacrer à la danse. Il n'y reviendra qu'une quinzaine d'années plus tard. Cependant, en 1989, il commence à pratiquer la photographie, activité qu'il poursuit sans discontinuer jusqu'à aujourd'hui. Á partir de 1996, ses œuvres graphiques et plastiques – sculptures-installations, dessins, photos –, le plus souvent conçues en cycles ou séries, font régulièrement l'objet d'expositions dans des galeries ou des théâtres.

En 2006, Josef Nadj est l'Artiste associé du 60e Festival d'Avignon : il présente Asobu dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes, en ouverture du festival, ainsi qu'une performance en collaboration avec le peintre Miquel Barcelo, "Paso doble", à l'église des Célestins. Puis en 2010, il y retourne pour "Les Corbeaux", performance où il partage la scène avec son complice Akosh S. (saxophoniste et poly-instrumentiste).

A l'occasion du 150e anniversaire de la naissance d'Anton Tchekhov, Valéri Chadrine, directeur du Festival International de Théâtre Tchekhov et directeur artistique de l'Année France-Russie 2010, a invité Josef Nadj pour la création d'un spectacle dédié au dramaturge, spectacle présenté à Moscou et Saint Pétersbourg.

Josef Nadj était aussi présent à la Quadriennale de Prague du 16 au 26 juin 2011. Cette Quadriennale se tient à Prague depuis 1967 ; c'est l'événement le plus renommé au monde pour les arts vivants. Plus d'une soixantaine de pays, y sont présents cette année. Josef Nadj a été sélectionné pour participer au projet « Intersection » basé sur l'intimité et le spectacle : village éphémère composé de boîtes "Whites cubes / black boxes" dressé pour une trentaine d'artistes mondialement reconnus, chacun investissant sa propre boîte.

Josef Nadj a été directeur du Centre Chorégraphique National d'Orléans de 1995 à 2016. En 2017, il établit à Paris sa nouvelle compagnie Atelier 3+1.

Source : Josef Nadj

En savoir plus : http://josefnadj.com/

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